
L’une des mesures prises par l’IPRES concerne ‘’les prestations en natures offertes par le Centre médico-social (CMS). Il faut rappeler qu’au-delà des prestations en espèces offertes par l’institution à travers le paiement des pensions et les secours accordés à certains pensionnaires, il y a des prestations en nature très importantes dont bénéficient les retraités et leurs familles’’, a dit M. Sy.
S'exprimant au cours d'une conférence de presse, il a souligné que l’IPRES a toujours contribué à la Couverture maladie universelle (CMU) de ses allocataires et de leurs ayants-droit par la prise en charge médicale entièrement gratuite pour un budget annuel de près de deux milliards FCFA, si on y intègre les frais de personnel’’.
‘’Il y a également le plan Sésame financé à hauteur de 300 millions de francs par an à travers le pays. Dans le souci d’améliorer la qualité des services et de réception optimale des patients au Centre médico-social, nous avons décidé, cette année, d’ouvrir une antenne du CMS dans la banlieue’’, a-t-il indiqué.
''Tout est parti du constat que nous avons fait que le CMS, qui est aujourd’hui un hôpital gériatrique de niveau 2, reçoit en moyenne entre 400 et 600 malades par jour, dont près de 80% en provenance de la banlieue'', a-t-il fait savoir.
C’est pour ces raisons que sera ouverte, dans un délai de deux à trois mois, une antenne dans la banlieue pour désengorger le CMS mais surtout épargner les retraités des longs trajets et de la longueur du temps d’attente pour se faire consulter ou soigner.
''Les locaux ont déjà été trouvés et les travaux d’aménagement vont démarrer incessamment. L’institution a par ailleurs demandé l’accompagnement de l’Etat pour le financement de cette action sanitaire et social'', a assuré Mamadou Racine Sy.
Il a ajouté que l'IPRES pense notamment à une renonciation aux impôts et taxes sur les pensions qui tournent aux environ de 500 millions de francs par an, pour pourvoir contribuer à la consolidation des prestations de service.
Dans la politique de ‘’déconcentration’’ de ses services afin de mieux se ‘’rapprocher des populations’’, l’IPRES a décidé, pour 2014, ‘’d’ouvrir des agences à Matam et Mbour et un bureau à Podor’’.
‘’Nous avons à l’étude la possibilité d’en ouvrir très rapidement dans les localités comme Kédougou, Kaffrine, Tivaouane, Touba et Fatick’’, a ajouté le président du Conseil d’administration.
‘’A moyen terme, nous pensons pouvoir instituer une pension minimale pour mettre fin aux pensions dérisoires voire ridicules, si l’on sait qu’il y a des pensionnaires qui touchent moins de 10 000 FCFA par bimestre’’, a-t-il relevé.
APS
S'exprimant au cours d'une conférence de presse, il a souligné que l’IPRES a toujours contribué à la Couverture maladie universelle (CMU) de ses allocataires et de leurs ayants-droit par la prise en charge médicale entièrement gratuite pour un budget annuel de près de deux milliards FCFA, si on y intègre les frais de personnel’’.
‘’Il y a également le plan Sésame financé à hauteur de 300 millions de francs par an à travers le pays. Dans le souci d’améliorer la qualité des services et de réception optimale des patients au Centre médico-social, nous avons décidé, cette année, d’ouvrir une antenne du CMS dans la banlieue’’, a-t-il indiqué.
''Tout est parti du constat que nous avons fait que le CMS, qui est aujourd’hui un hôpital gériatrique de niveau 2, reçoit en moyenne entre 400 et 600 malades par jour, dont près de 80% en provenance de la banlieue'', a-t-il fait savoir.
C’est pour ces raisons que sera ouverte, dans un délai de deux à trois mois, une antenne dans la banlieue pour désengorger le CMS mais surtout épargner les retraités des longs trajets et de la longueur du temps d’attente pour se faire consulter ou soigner.
''Les locaux ont déjà été trouvés et les travaux d’aménagement vont démarrer incessamment. L’institution a par ailleurs demandé l’accompagnement de l’Etat pour le financement de cette action sanitaire et social'', a assuré Mamadou Racine Sy.
Il a ajouté que l'IPRES pense notamment à une renonciation aux impôts et taxes sur les pensions qui tournent aux environ de 500 millions de francs par an, pour pourvoir contribuer à la consolidation des prestations de service.
Dans la politique de ‘’déconcentration’’ de ses services afin de mieux se ‘’rapprocher des populations’’, l’IPRES a décidé, pour 2014, ‘’d’ouvrir des agences à Matam et Mbour et un bureau à Podor’’.
‘’Nous avons à l’étude la possibilité d’en ouvrir très rapidement dans les localités comme Kédougou, Kaffrine, Tivaouane, Touba et Fatick’’, a ajouté le président du Conseil d’administration.
‘’A moyen terme, nous pensons pouvoir instituer une pension minimale pour mettre fin aux pensions dérisoires voire ridicules, si l’on sait qu’il y a des pensionnaires qui touchent moins de 10 000 FCFA par bimestre’’, a-t-il relevé.
APS