‘’Ce ne sera pas facile, mais nous devons accepter de construire, même si c’est dans la douleur, des universités d’excellence’’, a-t-il dit.
Le président de la CNES s’exprimait lors de la signature d'une convention entre l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD) et des organisations patronales.
Selon Mansour Cama, l’un des défis de l’enseignement supérieur consiste à mettre la formation sur les rails. Il a à ce propos plaidé pour le relèvement de la qualité de l’offre de formation.
Le président de la CNES a rappelé que le chômage est ‘’ une préoccupation quotidienne’’ des chefs d’entreprise.
‘’Le Sénégal a adopté le Plan Sénégal émergent (PSE), le réussir suppose la mise à niveau de notre économie dans un espace-temps relativement court, qui exige des mesures d’accompagnement dont la disponibilité d’une main d’œuvre de qualité’’, a-t-il estimé.
D'après lui, le ‘’ fait de pouvoir disposer d’une main d’œuvre à forte densité de compétences diverses et flexibles constitue un avantage majeur pour le pays comme pour les entreprises’’.
‘’Dans ce contexte, la qualité de la formation devient ainsi un instrument déterminant de compétitive’’, a souligné le président de la CNES, tout en suggérant la mise à niveau des structures de formation.
Evoquant les ‘’ succès éclatants’’ enregistrés récemment au niveau CAMES par l’UCAD, il a invité cette institution universitaire à ‘’ viser plus haut et aller plus loin’’, pour éviter que ces succès ne cachent une réalité moins reluisante.
APS
Le président de la CNES s’exprimait lors de la signature d'une convention entre l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD) et des organisations patronales.
Selon Mansour Cama, l’un des défis de l’enseignement supérieur consiste à mettre la formation sur les rails. Il a à ce propos plaidé pour le relèvement de la qualité de l’offre de formation.
Le président de la CNES a rappelé que le chômage est ‘’ une préoccupation quotidienne’’ des chefs d’entreprise.
‘’Le Sénégal a adopté le Plan Sénégal émergent (PSE), le réussir suppose la mise à niveau de notre économie dans un espace-temps relativement court, qui exige des mesures d’accompagnement dont la disponibilité d’une main d’œuvre de qualité’’, a-t-il estimé.
D'après lui, le ‘’ fait de pouvoir disposer d’une main d’œuvre à forte densité de compétences diverses et flexibles constitue un avantage majeur pour le pays comme pour les entreprises’’.
‘’Dans ce contexte, la qualité de la formation devient ainsi un instrument déterminant de compétitive’’, a souligné le président de la CNES, tout en suggérant la mise à niveau des structures de formation.
Evoquant les ‘’ succès éclatants’’ enregistrés récemment au niveau CAMES par l’UCAD, il a invité cette institution universitaire à ‘’ viser plus haut et aller plus loin’’, pour éviter que ces succès ne cachent une réalité moins reluisante.
APS