Selon l’Agence nationale de la statistique et de la démographie (Ansd), ce ralentissement est consécutif à la contre-performance du sous-secteur de la pêche qui a enregistré un repli de 6,4% en 2021 et de la timide croissance de l’agriculture (+0,6%). «La décélération de la valeur ajoutée de l’agriculture s’explique par la baisse de la production des principales cultures.En particulier, les productions de « céréales » et « arachide et autres oléagineux » ont respectivement régressé de 4,8% et 6,4%.
Toutefois, les cultures de « Légumes et épices » (+9,3%), des « Fruits, plantes et fleurs, pépinières, plantes pour boisson » (+8,0%) et les « Autres produits agricoles et services de soutien » (+8,4%) se sont bien comportées en 2021 », renseigne l’Ansd. Elle ajoute que la contre-performance de la production céréalière s’explique principalement par la diminution de 1,3% de leur rendement moyen, combinée à la réduction de 4,2% des superficies emblavées.
En revanche, la contraction de la production arachidière s’explique davantage par celle du rendement (- 5,8%) que par la baisse de la superficie emblavée (-0,9%). L’évolution de la valeur ajoutée réelle de l’élevage, de la chasse et activités annexes (+1,8%), est essentiellement imputable à celles des sous-branches des bovins, ovins et caprins et de la volaille.
En effet, les productions de la volaille et de bovins, ovins et caprins ont progressé respectivement de 3,6% et 1,4% en 2021. Le secteur de la pêche continue d’enregistrer une contre-performance avec une contraction de sa valeur ajoutée (-6,4%) en 2021, après une chute de 10,2% en 2020. Cette situation est en liaison avec la diminution des débarquements imputable à la raréfaction des ressources halieutiques.
Adou Faye
Toutefois, les cultures de « Légumes et épices » (+9,3%), des « Fruits, plantes et fleurs, pépinières, plantes pour boisson » (+8,0%) et les « Autres produits agricoles et services de soutien » (+8,4%) se sont bien comportées en 2021 », renseigne l’Ansd. Elle ajoute que la contre-performance de la production céréalière s’explique principalement par la diminution de 1,3% de leur rendement moyen, combinée à la réduction de 4,2% des superficies emblavées.
En revanche, la contraction de la production arachidière s’explique davantage par celle du rendement (- 5,8%) que par la baisse de la superficie emblavée (-0,9%). L’évolution de la valeur ajoutée réelle de l’élevage, de la chasse et activités annexes (+1,8%), est essentiellement imputable à celles des sous-branches des bovins, ovins et caprins et de la volaille.
En effet, les productions de la volaille et de bovins, ovins et caprins ont progressé respectivement de 3,6% et 1,4% en 2021. Le secteur de la pêche continue d’enregistrer une contre-performance avec une contraction de sa valeur ajoutée (-6,4%) en 2021, après une chute de 10,2% en 2020. Cette situation est en liaison avec la diminution des débarquements imputable à la raréfaction des ressources halieutiques.
Adou Faye