Ce résultat, renseigne la Dpee, traduit essentiellement l’optimisme des prestataires de services et, dans une moindre mesure, des commerçants. Sur une base annuelle, l’indicateur du climat des affaires s’est, également, bonifié (+1,4 point), en novembre 2024.
Dans le sous-secteur de l’industrie, renseigne la même source, les obstacles cités par la plupart des industriels sont l’insuffisance de la demande (37%), la concurrence jugée déloyale (33%), le recouvrement difficile des créances (29%), l’approvisionnement difficile en matières premières (23%), la fiscalité (9%), l’accès au crédit (4%) et la corruption et fraude (3%). Ainsi, le climat des affaires de ce sous-secteur s’est détérioré de 2,6 points relevant l’orientation défavorable des opinions des chefs d’entreprise relatives à la production réalisée, aux stocks de produits finis et aux commandes.
S’agissant du sous-secteur des bâtiments et travaux publics, les difficultés les plus mentionnées par les entrepreneurs sont le recouvrement difficile des créances (92%), la fiscalité (67%), l’insuffisance de la demande (58%), la concurrence supposée déloyale (42%), l’accès difficile au foncier (33%), le coût des intrants (25%) et la vétusté des équipements (17%). Néanmoins, l’indicateur du climat des affaires de ce sous-secteur s’est légèrement renforcé (+0,3 point) sur fonds de l’optimisme des enquêtés par rapport aux perspectives de l’activité générale.
Au titre du sous-secteur des services, les principales contraintes soulignées par les prestataires sont la demande (42%), la concurrence (38%), le recouvrement des créances (38%), la fiscalité (27%) et la corruption et fraude (17%). En variation mensuelle, l’indicateur de ce sous-secteur s’est amélioré (+6,6 points) reflétant l’optimisme des prestataires sur le chiffre d’affaires et les perspectives des tarifs appliqués.
Concernant le commerce, les difficultés les plus identifiées par les répondants du sous-secteur sont le recouvrement difficile des créances (68%), la concurrence jugée déloyale (58%), l’insuffisance de la demande (54%), la fiscalité (37%), les difficultés d’approvisionnement de marchandises (21%) et l’accès aux crédit (16%) En rythme mensuel, le climat des affaires de ce sous-secteur s’est détérioré (-8,1 points) en liaison avec le chiffre d’affaires réalisé, les commandes reçues et les stocks de produits finis.
Adou FAYE
Dans le sous-secteur de l’industrie, renseigne la même source, les obstacles cités par la plupart des industriels sont l’insuffisance de la demande (37%), la concurrence jugée déloyale (33%), le recouvrement difficile des créances (29%), l’approvisionnement difficile en matières premières (23%), la fiscalité (9%), l’accès au crédit (4%) et la corruption et fraude (3%). Ainsi, le climat des affaires de ce sous-secteur s’est détérioré de 2,6 points relevant l’orientation défavorable des opinions des chefs d’entreprise relatives à la production réalisée, aux stocks de produits finis et aux commandes.
S’agissant du sous-secteur des bâtiments et travaux publics, les difficultés les plus mentionnées par les entrepreneurs sont le recouvrement difficile des créances (92%), la fiscalité (67%), l’insuffisance de la demande (58%), la concurrence supposée déloyale (42%), l’accès difficile au foncier (33%), le coût des intrants (25%) et la vétusté des équipements (17%). Néanmoins, l’indicateur du climat des affaires de ce sous-secteur s’est légèrement renforcé (+0,3 point) sur fonds de l’optimisme des enquêtés par rapport aux perspectives de l’activité générale.
Au titre du sous-secteur des services, les principales contraintes soulignées par les prestataires sont la demande (42%), la concurrence (38%), le recouvrement des créances (38%), la fiscalité (27%) et la corruption et fraude (17%). En variation mensuelle, l’indicateur de ce sous-secteur s’est amélioré (+6,6 points) reflétant l’optimisme des prestataires sur le chiffre d’affaires et les perspectives des tarifs appliqués.
Concernant le commerce, les difficultés les plus identifiées par les répondants du sous-secteur sont le recouvrement difficile des créances (68%), la concurrence jugée déloyale (58%), l’insuffisance de la demande (54%), la fiscalité (37%), les difficultés d’approvisionnement de marchandises (21%) et l’accès aux crédit (16%) En rythme mensuel, le climat des affaires de ce sous-secteur s’est détérioré (-8,1 points) en liaison avec le chiffre d’affaires réalisé, les commandes reçues et les stocks de produits finis.
Adou FAYE