« Comme nous le savons tous, la question sécuritaire demeure, aujourd’hui plus que jamais, la priorité des préoccupations de nos Chefs d’Etat. La raison en est toute simple : la sécurité est le baromètre de la vie sociale et économique. Or, depuis quelques temps, malheureusement, nombre de nos pays sont la cible d’attaques terroristes récurrentes, ou sont sous la menace des forces obscurantistes », a-t-il dit.
A l’évidence, ajoute M. Diomandé, celles-ci visent désormais, au-delà du Sahel, le Golfe de Guinée à travers les pays du littoral. Il a souligné que les récentes attaques à Kafolo et à Kolobougou en Côte d’Ivoire en constituent une parfaite illustration. Face à cette situation, il nous appartient d’avoir une réaction prompte et vigoureuse.
Selon Vagondo Diomandé, personne d’autre que nous-mêmes n’est en mesure d’appréhender l’ampleur des défis auxquels nous sommes confrontés, encore moins d’y trouver les réponses appropriées. En outre, la pandémie du Covid-19 s’est imposée comme une nouvelle donne à prendre en compte dans nos stratégies de lutte contre l’insécurité.
Elle continue d’impacter négativement nos modes de vie et le processus d’intégration de notre Union, basée d’abord et avant tout sur la libre circulation des personnes, des biens, des services et des capitaux.
«Dès lors, il est un impératif pour nous de conjuguer nos efforts et de mutualiser nos moyens, à travers notamment, pour les responsables de la sécurité que nous sommes, le renforcement de la coopération en matière de sécurité et de renseignement », note le ministre ivoirien de l’Intérieur. C’est pourquoi, je salue la pertinence des points inscrits à l’ordre du jour de notre réunion et, plus particulièrement, celui relatif à l’examen et à l’adoption du rapport de l’étude en vue de l’informatisation et l’interconnexion des postes de police frontaliers dans l’espace Uemoa. Il souhaiterait voir la Commission accélérer l’élaboration d’un projet et la recherche de partenaires techniques et financiers pour une opérationnalisation diligente de l’informatisation et de l’interconnexion des postes de police frontaliers de notre espace.
Adou FAYE
A l’évidence, ajoute M. Diomandé, celles-ci visent désormais, au-delà du Sahel, le Golfe de Guinée à travers les pays du littoral. Il a souligné que les récentes attaques à Kafolo et à Kolobougou en Côte d’Ivoire en constituent une parfaite illustration. Face à cette situation, il nous appartient d’avoir une réaction prompte et vigoureuse.
Selon Vagondo Diomandé, personne d’autre que nous-mêmes n’est en mesure d’appréhender l’ampleur des défis auxquels nous sommes confrontés, encore moins d’y trouver les réponses appropriées. En outre, la pandémie du Covid-19 s’est imposée comme une nouvelle donne à prendre en compte dans nos stratégies de lutte contre l’insécurité.
Elle continue d’impacter négativement nos modes de vie et le processus d’intégration de notre Union, basée d’abord et avant tout sur la libre circulation des personnes, des biens, des services et des capitaux.
«Dès lors, il est un impératif pour nous de conjuguer nos efforts et de mutualiser nos moyens, à travers notamment, pour les responsables de la sécurité que nous sommes, le renforcement de la coopération en matière de sécurité et de renseignement », note le ministre ivoirien de l’Intérieur. C’est pourquoi, je salue la pertinence des points inscrits à l’ordre du jour de notre réunion et, plus particulièrement, celui relatif à l’examen et à l’adoption du rapport de l’étude en vue de l’informatisation et l’interconnexion des postes de police frontaliers dans l’espace Uemoa. Il souhaiterait voir la Commission accélérer l’élaboration d’un projet et la recherche de partenaires techniques et financiers pour une opérationnalisation diligente de l’informatisation et de l’interconnexion des postes de police frontaliers de notre espace.
Adou FAYE