« Il s’est manifesté par la concurrence déloyale (14,4%), mais aussi à travers les lourdeurs administratives et la fiscalité, dans les mêmes proportions (8,7%) », note la DPEE. Selon toujours cette structure 16,3% des dirigeants d’industries ont évoqué l’insuffisance de la demande comme contrainte majeure contre 10,6% qui ont déploré le non recouvrement des créances.
Dans le sous-secteur des bâtiments et travaux publics, 68,4% des entrepreneurs se sont plaints de l’environnement des affaires difficile du fait de la concurrence déloyale (26%), des lourdeurs administratives et de la fiscalité, dans les mêmes proportions (16%). En outre, le non recouvrement des créances a perturbé l’activité de 21% des répondants tandis que, à parts égales, 5% des enquêtés se sont plaints de l’insuffisance de la demande et de l’accès difficile au financement durant le mois de novembre.
Concernant les services, l’environnement des affaires difficile continue également d’affecter l’activité pour 56,9% des prestataires. « Cette situation est principalement due à la concurrence mais aussi à la fiscalité et aux lourdeurs administratives, dans les mêmes proportions (11,1%) », signale la DPEE. En outre, 22,2% et 6,9% des chefs d’entreprises estiment que le non recouvrement des créances et l’insuffisance de la demande constituent respectivement leurs contraintes majeures.
Dans le commerce, 61,2% les dirigeants ont évoqué l’environnement des affaires difficile en liaison, principalement, avec la concurrence déloyale (14,3%), les lourdeurs administratives (8,7%) et la fiscalité (8,2%). Pour leurs parts, les créances non recouvrées ont été la difficulté majeure de 18,4% des commerçants alors que 12,2% des interrogés ont déploré l’insuffisance de la demande.
El Hadj Diakhaté
Dans le sous-secteur des bâtiments et travaux publics, 68,4% des entrepreneurs se sont plaints de l’environnement des affaires difficile du fait de la concurrence déloyale (26%), des lourdeurs administratives et de la fiscalité, dans les mêmes proportions (16%). En outre, le non recouvrement des créances a perturbé l’activité de 21% des répondants tandis que, à parts égales, 5% des enquêtés se sont plaints de l’insuffisance de la demande et de l’accès difficile au financement durant le mois de novembre.
Concernant les services, l’environnement des affaires difficile continue également d’affecter l’activité pour 56,9% des prestataires. « Cette situation est principalement due à la concurrence mais aussi à la fiscalité et aux lourdeurs administratives, dans les mêmes proportions (11,1%) », signale la DPEE. En outre, 22,2% et 6,9% des chefs d’entreprises estiment que le non recouvrement des créances et l’insuffisance de la demande constituent respectivement leurs contraintes majeures.
Dans le commerce, 61,2% les dirigeants ont évoqué l’environnement des affaires difficile en liaison, principalement, avec la concurrence déloyale (14,3%), les lourdeurs administratives (8,7%) et la fiscalité (8,2%). Pour leurs parts, les créances non recouvrées ont été la difficulté majeure de 18,4% des commerçants alors que 12,2% des interrogés ont déploré l’insuffisance de la demande.
El Hadj Diakhaté