
Elle s`exprimait lors de l`atelier de lancement portant sur « Audit des compétences des agents de l’Etat ». Selon Viviane Bampassy, l’objectif de cette activité dont la première phase vient d’être lancée, est de contribuer à améliorer les performances de l’administration pour une meilleure qualité des services rendus aux usagers. Et elle marque également une étape importante dans le cadre de la mise en œuvre des réformes entreprise par le gouvernement dans le cadre du Plan Sénégal Emergent (PSE).
La recherche d’efficacité de l’administration dans un cadre de développement ne peut se réaliser que si l’on procède à l’optimisation de son capital humain qui est le facteur clé de succès dans ce contexte en forte mutation et a évolution technologique rapide, souligne le Ministre de la fonction publique.
Dès lors, l’administration doit disposer d’outils permettant d’établir des liens entre l’évolution des organisations et celle des ressources humaines, afin de maintenir un bon niveau d’adéquation poste/emploi. Et ces outils concernent l’impact des changements sur les indicateurs d’activité, les profils de postes, les compétences requises, et les plans d’actions permettant à réduire les écarts correspondants, dira Madame Viviane Bambassy.
L’Etat du Sénégal attend de cette étude une meilleure connaissance des aptitudes professionnelles de ses agents, car la gestion prévisionnelle des emplois et des compétences dans l’administration publique est devenue une nécessité.
Pour conclure, Madame le Ministre d’indiquer que l’atelier de lancement de « Audit des compétences des agents de l’Etat » s’articule donc à l’audit physique biométrique des agents de l’Etat et s’intègre parfaitement au référentiel des emplois et compétences des agents de l’Etat (ROMCES) en cours d’élaboration.
Fatou Blondin Cissé
La recherche d’efficacité de l’administration dans un cadre de développement ne peut se réaliser que si l’on procède à l’optimisation de son capital humain qui est le facteur clé de succès dans ce contexte en forte mutation et a évolution technologique rapide, souligne le Ministre de la fonction publique.
Dès lors, l’administration doit disposer d’outils permettant d’établir des liens entre l’évolution des organisations et celle des ressources humaines, afin de maintenir un bon niveau d’adéquation poste/emploi. Et ces outils concernent l’impact des changements sur les indicateurs d’activité, les profils de postes, les compétences requises, et les plans d’actions permettant à réduire les écarts correspondants, dira Madame Viviane Bambassy.
L’Etat du Sénégal attend de cette étude une meilleure connaissance des aptitudes professionnelles de ses agents, car la gestion prévisionnelle des emplois et des compétences dans l’administration publique est devenue une nécessité.
Pour conclure, Madame le Ministre d’indiquer que l’atelier de lancement de « Audit des compétences des agents de l’Etat » s’articule donc à l’audit physique biométrique des agents de l’Etat et s’intègre parfaitement au référentiel des emplois et compétences des agents de l’Etat (ROMCES) en cours d’élaboration.
Fatou Blondin Cissé