M. Sonko présidait l’ouverture d’un panel sur le thème « L’investissement dans l’agriculture en afrique de l’Ouest : regards croisés sur les perspectives post Ecowap+10 » organisé par l’Association des femmes de l’Afrique de l’Ouest (AFAO), Enda Cacid, IPAR et POSCAO.
Selon M. Sonko les conditions de remboursement seront très abordables pour ces promoteurs qui doivent supporter un taux d’intérêt de 6,5%. « La participation qui a été demandé aux promoteurs est de 10% avec une garantie assurée par le fonds de garantie des investissements prioritaires (FONGIP) », affirme-t-il.
Auparavant, Dr Cheikh Tidiane Dieye directeur exécutif d’Enda CACID a estimé que l’objectif du panel était d’offrir un cadre ouvert et informel d’échanges entre tous les participants sur les tendances et défis de l’investissement dans l’agriculture à la lumière des résultats de la conférence ECOWAP+10.
De son coté, Mme Khady Fall Tall présidente de l’AFAO a regretté que l’Afrique de l’Ouest ne transforme que 2% de sa production agricole. « Nous pensons que des ruptures doivent être amorcées », affirme-t-elle. Pour ce faire, suggère-t-elle, les Etats doivent appuyer les transformations agricoles des femmes à la base. Donnant l’exemple de l’AFAO, Mme Tall avance que sa structure travaille dans la chaine de valeurs à travers quatre filières depuis une dizaine d’années : les céréales, les fruits et légumes, les oléagineux et l’anacarde. « Ce sont les partenaires internationaux comme l’USAID, la banque islamique de développement ou la FAO qui nous soutiennent », laisse-t-elle entendre.
El Hadj Diakhaté
Selon M. Sonko les conditions de remboursement seront très abordables pour ces promoteurs qui doivent supporter un taux d’intérêt de 6,5%. « La participation qui a été demandé aux promoteurs est de 10% avec une garantie assurée par le fonds de garantie des investissements prioritaires (FONGIP) », affirme-t-il.
Auparavant, Dr Cheikh Tidiane Dieye directeur exécutif d’Enda CACID a estimé que l’objectif du panel était d’offrir un cadre ouvert et informel d’échanges entre tous les participants sur les tendances et défis de l’investissement dans l’agriculture à la lumière des résultats de la conférence ECOWAP+10.
De son coté, Mme Khady Fall Tall présidente de l’AFAO a regretté que l’Afrique de l’Ouest ne transforme que 2% de sa production agricole. « Nous pensons que des ruptures doivent être amorcées », affirme-t-elle. Pour ce faire, suggère-t-elle, les Etats doivent appuyer les transformations agricoles des femmes à la base. Donnant l’exemple de l’AFAO, Mme Tall avance que sa structure travaille dans la chaine de valeurs à travers quatre filières depuis une dizaine d’années : les céréales, les fruits et légumes, les oléagineux et l’anacarde. « Ce sont les partenaires internationaux comme l’USAID, la banque islamique de développement ou la FAO qui nous soutiennent », laisse-t-elle entendre.
El Hadj Diakhaté