«L’Union européenne et le Sénégal sont liés par des relations humaines, politiques et économiques étroites depuis des décennies. La longue et solide tradition démocratique du Sénégal et des valeurs partagées, telles que l’aspiration au dialogue et au consensus politique, ont toujours été des éléments importants d’une coopération basée sur la confiance », lit-on dans le document.
Ainsi, l’Union européenne exprime ses préoccupations suite à la décision des autorités sénégalaises de reporter le scrutin présidentiel prévu le 25 février, qui prolongerait de facto le mandat du Président. Selon l’Ue, cette décision risque d’entacher la longue tradition démocratique au Sénégal et pourrait ainsi ouvrir une période de grande incertitude pour le pays.
Cette décision, souligne l’Ue a déjà eu des impacts sur la stabilité et la cohésion sociale du pays. Nous appelons les autorités du Sénégal à respecter les aspirations légitimes des citoyens et de toutes les forces vives de la nation à préserver la démocratie. Elle affirme que les libertés fondamentales, et notamment celles de manifester pacifiquement et de s’exprimer publiquement, sont des principes fondamentaux de l’État de droit que les autorités sénégalaises se doivent de garantir.
«L’Ue lance un appel aux autorités à prendre les mesures nécessaires afin d’organiser l’élection présidentielle le plus rapidement possible, en conformité avec la Constitution du Sénégal et le Protocole additionnel de la Cedeao sur la démocratie et la bonne gouvernance. Il est crucial pour la crédibilité et l’inclusivité de l’élection que toutes les parties puissent effectivement prendre part aux décisions touchant aux caractéristiques essentielles du processus électoral, dans un esprit de dialogue constructif et de transparence », lance l’Ue.
A son avis, les citoyens sénégalais doivent pouvoir choisir leurs dirigeants politiques par la voie électorale dans le respect de l’État de droit, et dans les délais impartis. Il est primordial de maintenir l’image du Sénégal comme pilier de démocratie et de stabilité dans la région et sur le continent africain. L’UE appelle aussi l’ensemble des acteurs à régler leurs différends à travers un dialogue responsable et les voies de recours pacifiques prévues.
Adou FAYE
Ainsi, l’Union européenne exprime ses préoccupations suite à la décision des autorités sénégalaises de reporter le scrutin présidentiel prévu le 25 février, qui prolongerait de facto le mandat du Président. Selon l’Ue, cette décision risque d’entacher la longue tradition démocratique au Sénégal et pourrait ainsi ouvrir une période de grande incertitude pour le pays.
Cette décision, souligne l’Ue a déjà eu des impacts sur la stabilité et la cohésion sociale du pays. Nous appelons les autorités du Sénégal à respecter les aspirations légitimes des citoyens et de toutes les forces vives de la nation à préserver la démocratie. Elle affirme que les libertés fondamentales, et notamment celles de manifester pacifiquement et de s’exprimer publiquement, sont des principes fondamentaux de l’État de droit que les autorités sénégalaises se doivent de garantir.
«L’Ue lance un appel aux autorités à prendre les mesures nécessaires afin d’organiser l’élection présidentielle le plus rapidement possible, en conformité avec la Constitution du Sénégal et le Protocole additionnel de la Cedeao sur la démocratie et la bonne gouvernance. Il est crucial pour la crédibilité et l’inclusivité de l’élection que toutes les parties puissent effectivement prendre part aux décisions touchant aux caractéristiques essentielles du processus électoral, dans un esprit de dialogue constructif et de transparence », lance l’Ue.
A son avis, les citoyens sénégalais doivent pouvoir choisir leurs dirigeants politiques par la voie électorale dans le respect de l’État de droit, et dans les délais impartis. Il est primordial de maintenir l’image du Sénégal comme pilier de démocratie et de stabilité dans la région et sur le continent africain. L’UE appelle aussi l’ensemble des acteurs à régler leurs différends à travers un dialogue responsable et les voies de recours pacifiques prévues.
Adou FAYE