Cette progression de l’activité économique s’explique par le dynamisme du secteur tertiaire (6,4%, contre 3,3% en 2015). Toutefois, elle a été amoindrie par le léger ralentissement des secteurs primaire (5,4%, après 10,6% en 2015) et secondaire (4,9% contre 9,8% en 2015).
Les emplois du PIB ont été marqués par la forte progression de la FBCF qui s’est accrue de 13,7% en 2016, en termes réels, après 5,9% en 2015. De plus, la consommation finale a augmenté de 5,2% par rapport à 2015.
La part de la consommation finale dans le PIB nominal est passée de 86,9% en 2015 à 85,9% en 2016. En conséquence, le taux d’épargne est ressorti en hausse (14,1%, après 13,1% en 2015).
Pathé TOURE
Les emplois du PIB ont été marqués par la forte progression de la FBCF qui s’est accrue de 13,7% en 2016, en termes réels, après 5,9% en 2015. De plus, la consommation finale a augmenté de 5,2% par rapport à 2015.
La part de la consommation finale dans le PIB nominal est passée de 86,9% en 2015 à 85,9% en 2016. En conséquence, le taux d’épargne est ressorti en hausse (14,1%, après 13,1% en 2015).
Pathé TOURE