Elle souligne qu’elle résulte principalement de l’augmentation de la valeur ajoutée du secteur secondaire (+32,1%) et, dans une moindre mesure, celles des secteurs primaire (+4,6%) et tertiaire (+1,3%). De plus, la même source renseigne que les taxes nettes de subventions sur les produits se sont bonifiées de 3,3%. Au moment où, le Pib hors pétrole s’est accru de 2,1%.
S’agissant des composantes de la demande, l’Ansd confie que les exportations ont bondi de 65,9% alors que les importations ont fléchi de 8,3%. En plus, il est noté un accroissement de la formation brute de capital fixe (+3,8%) et de la consommation finale globale (+1,9%).
Relèvement de 11,5% par rapport au troisième trimestre 2023
Comparativement à la même période de l’année 2023, le Pib réel du troisième trimestre de 2024 s’est relevé de 11,5%. Cette augmentation s’explique principalement, selon l’Ansd, par le bond des activités des secteurs secondaire (+38,9%), combiné à la hausse des valeurs ajoutées des secteurs primaire (+5,2%), tertiaire (+4,0%) ainsi que des taxes nettes sur les biens et services (+0,9%).
Sous l’optique de la demande, l’activité économique au troisième trimestre de 2024, comparée au même trimestre de l’année précédente a été principalement soutenue par l’accroissement des exportations (+65,0%) et de la consommation finale (+4,3%), en termes réels. En revanche, les importations et la formation brute de capital fixe ont enregistré, respectivement, des reculs de 13,2 et 4,8%.
L’Agence nationale de la statistique et de la démographie fait savoir, enfin, que le Produit intérieur brut nominal est estimé à 4 815,0 milliards de francs Cfa au troisième trimestre de 2024.
Bassirou MBAYE
S’agissant des composantes de la demande, l’Ansd confie que les exportations ont bondi de 65,9% alors que les importations ont fléchi de 8,3%. En plus, il est noté un accroissement de la formation brute de capital fixe (+3,8%) et de la consommation finale globale (+1,9%).
Relèvement de 11,5% par rapport au troisième trimestre 2023
Comparativement à la même période de l’année 2023, le Pib réel du troisième trimestre de 2024 s’est relevé de 11,5%. Cette augmentation s’explique principalement, selon l’Ansd, par le bond des activités des secteurs secondaire (+38,9%), combiné à la hausse des valeurs ajoutées des secteurs primaire (+5,2%), tertiaire (+4,0%) ainsi que des taxes nettes sur les biens et services (+0,9%).
Sous l’optique de la demande, l’activité économique au troisième trimestre de 2024, comparée au même trimestre de l’année précédente a été principalement soutenue par l’accroissement des exportations (+65,0%) et de la consommation finale (+4,3%), en termes réels. En revanche, les importations et la formation brute de capital fixe ont enregistré, respectivement, des reculs de 13,2 et 4,8%.
L’Agence nationale de la statistique et de la démographie fait savoir, enfin, que le Produit intérieur brut nominal est estimé à 4 815,0 milliards de francs Cfa au troisième trimestre de 2024.
Bassirou MBAYE