M. Pierre Ndiaye, Directeur Général de la Planification et des Politiques Economiques du ministère de l’Economie, des Finances et du Plan, l’a fait savoir à l'ouverture de l'Atelier de formulation de la Stratégie du PSE phase II 2019-2023, tenu ce lundi 07 mai à l’hôtel Ngor Diarama.
Le représentant de Amadou Ba à cette rencontre y ajoute l’insuffisance du financement privé dans les projets de type PPP, à la complexité du système fiscal ainsi qu’au déficit d’infrastructures de qualité et participant à la chaine de valeurs malgré les efforts fournis.
Selon lui, le pays reste toujours confronté, entre autres, à une inefficacité des investissements publics, à une faible valorisation du capital humain, à la faible sophistication des produits exportés, à la problématique de l’emploi des jeunes.
Sans oublier la persistance de la pauvreté, à l’insuffisance du financement privé dans les projets de type PPP, à la complexité du système fiscal ainsi qu’au déficit d’infrastructures de qualité et participant à la chaine de valeurs malgré les efforts fournis.
A l’en croire, ces contraintes identifiées, justifient, en partie, la tenue de cet atelier pour déterminer les défis, les objectifs stratégiques et les effets attendus pour renforcer l’amélioration du bien-être des populations, gage d’une stabilité et d’une justice et cohésion sociales.
Il confie que ces mêmes travaux sont en train d’être exécutés au niveau des commissions régionales de planification pour une meilleure prise en compte des préoccupations territoriales.
Ainsi, une kyrielle de goulots d’étranglement que le pays doit surmonter pour espérer réaliser l’émergence à l’horizon 2035.
Des résultats probants enregistrés dans le social
Malgré la lourdeur des défis notés, cette vision du président Macky Sall semble être sur la bonne voie.
M. Ndiaye fait noter que des résultats probants sont enregistrés en termes de santé, de protection sociale et notamment de croissance économique avec un taux supérieur à 6% ces dernières années.
Selon lui, cette dynamique est le résultat de la mise en place d’un ensemble cohérent de réformes structurelles de grande envergure et d’investissements publics et privés bien ciblés, dans un cadre macroéconomique stable et bien planifié.
Les leviers sur lesquels appuyer pour réussir le pari de l’émergence
Après l’atelier diagnostic du 18 au 22 décembre 2017 et cette dernière rencontre de formulation de la Stratégie du PSE phase II 2019-2023, les techniciens du Ministére de l'Economie des Finances et du Plan ont les outils nécessaires pour accélérer la cadence.
Pierre Ndiaye estime que réussir le pari de l’émergence, revient à, entre autres, mettre l’accent sur l’accumulation du capital humain, le relèvement de la productivité totale des facteurs, la résilience des populations face aux effets du changement climatique.
A cela, il y greffe également la promotion l’équité et l’égalité de genre, la recherche et l’innovation, la gouvernance dans toutes ses dimensions et la lutte contre la pauvreté. De ce point de vue, il invite tous les acteurs impliqués à scruter tous les leviers à actionner pour un Sénégal émergent en 2035.
« Au regard de l’expertise ici présente, je demeure convaincu, que les résultats de vos travaux permettront de lever les contraintes identifiées afin d’aboutir au futur souhaité », s’est-il réjoui.
Mariama Diallo
Le représentant de Amadou Ba à cette rencontre y ajoute l’insuffisance du financement privé dans les projets de type PPP, à la complexité du système fiscal ainsi qu’au déficit d’infrastructures de qualité et participant à la chaine de valeurs malgré les efforts fournis.
Selon lui, le pays reste toujours confronté, entre autres, à une inefficacité des investissements publics, à une faible valorisation du capital humain, à la faible sophistication des produits exportés, à la problématique de l’emploi des jeunes.
Sans oublier la persistance de la pauvreté, à l’insuffisance du financement privé dans les projets de type PPP, à la complexité du système fiscal ainsi qu’au déficit d’infrastructures de qualité et participant à la chaine de valeurs malgré les efforts fournis.
A l’en croire, ces contraintes identifiées, justifient, en partie, la tenue de cet atelier pour déterminer les défis, les objectifs stratégiques et les effets attendus pour renforcer l’amélioration du bien-être des populations, gage d’une stabilité et d’une justice et cohésion sociales.
Il confie que ces mêmes travaux sont en train d’être exécutés au niveau des commissions régionales de planification pour une meilleure prise en compte des préoccupations territoriales.
Ainsi, une kyrielle de goulots d’étranglement que le pays doit surmonter pour espérer réaliser l’émergence à l’horizon 2035.
Des résultats probants enregistrés dans le social
Malgré la lourdeur des défis notés, cette vision du président Macky Sall semble être sur la bonne voie.
M. Ndiaye fait noter que des résultats probants sont enregistrés en termes de santé, de protection sociale et notamment de croissance économique avec un taux supérieur à 6% ces dernières années.
Selon lui, cette dynamique est le résultat de la mise en place d’un ensemble cohérent de réformes structurelles de grande envergure et d’investissements publics et privés bien ciblés, dans un cadre macroéconomique stable et bien planifié.
Les leviers sur lesquels appuyer pour réussir le pari de l’émergence
Après l’atelier diagnostic du 18 au 22 décembre 2017 et cette dernière rencontre de formulation de la Stratégie du PSE phase II 2019-2023, les techniciens du Ministére de l'Economie des Finances et du Plan ont les outils nécessaires pour accélérer la cadence.
Pierre Ndiaye estime que réussir le pari de l’émergence, revient à, entre autres, mettre l’accent sur l’accumulation du capital humain, le relèvement de la productivité totale des facteurs, la résilience des populations face aux effets du changement climatique.
A cela, il y greffe également la promotion l’équité et l’égalité de genre, la recherche et l’innovation, la gouvernance dans toutes ses dimensions et la lutte contre la pauvreté. De ce point de vue, il invite tous les acteurs impliqués à scruter tous les leviers à actionner pour un Sénégal émergent en 2035.
« Au regard de l’expertise ici présente, je demeure convaincu, que les résultats de vos travaux permettront de lever les contraintes identifiées afin d’aboutir au futur souhaité », s’est-il réjoui.
Mariama Diallo