Birame Faye, général de l’Agence pour l’Economie et la Maîtrise de l’Energie (Aeme)
M. Gassama s’exprimait à l’occasion d’un atelier sur le même thème organisé par l’AEME en partenariat avec le Collectif des journalistes économiques du Sénégal (COJES).
Selon M. Gassama les enjeux sont perceptibles à la fois au niveau de l’Etat, des professionnels et de la population. Pour l’Etat, soutient M. Gassama, cela se traduit notamment par la réduction de sa dépendance énergétique, l’équilibre de sa balance commerciale ou encore la diminution de son intensité énergétique. L’intensité énergétique est entendue comme le rapport entre la consommation globale du pays et le produit intérieur brut (PIB) », explique aux journalistes M. Gassama. A ce niveau, il estime que le Sénégal a beaucoup à faire pour rattraper les meilleurs pays qui en sont à un ratio de 0,1 contre 0,33% pour le pays de la Téranga.
Pour les professionnels, les enjeux de la maitrise de l’énergie sont notamment la productivité, la compétitivité et la rentabilité de leurs activités.
Quant aux populations, le directeur technique de l’AEME souligne que les enjeux se situent autour de la lutte contre la précarité énergétique, la satisfaction des besoins énergétiques et l’augmentation du pouvoir d’achat.
L’AEME a été crée en 2011 mais elle n’a été opérationnelle qu’en 2013. Parmi ses missions, il y a la promotion de l’utilisation rationnelle de l’énergie dans tous les secteurs d’activités au Sénégal. Pour se faire, les dirigeants de cette structure entendent dérouler une campagne d’information de communication et de sensibilisation auprès des professionnels et du grand public.
El Hadj Diakhaté
Selon M. Gassama les enjeux sont perceptibles à la fois au niveau de l’Etat, des professionnels et de la population. Pour l’Etat, soutient M. Gassama, cela se traduit notamment par la réduction de sa dépendance énergétique, l’équilibre de sa balance commerciale ou encore la diminution de son intensité énergétique. L’intensité énergétique est entendue comme le rapport entre la consommation globale du pays et le produit intérieur brut (PIB) », explique aux journalistes M. Gassama. A ce niveau, il estime que le Sénégal a beaucoup à faire pour rattraper les meilleurs pays qui en sont à un ratio de 0,1 contre 0,33% pour le pays de la Téranga.
Pour les professionnels, les enjeux de la maitrise de l’énergie sont notamment la productivité, la compétitivité et la rentabilité de leurs activités.
Quant aux populations, le directeur technique de l’AEME souligne que les enjeux se situent autour de la lutte contre la précarité énergétique, la satisfaction des besoins énergétiques et l’augmentation du pouvoir d’achat.
L’AEME a été crée en 2011 mais elle n’a été opérationnelle qu’en 2013. Parmi ses missions, il y a la promotion de l’utilisation rationnelle de l’énergie dans tous les secteurs d’activités au Sénégal. Pour se faire, les dirigeants de cette structure entendent dérouler une campagne d’information de communication et de sensibilisation auprès des professionnels et du grand public.
El Hadj Diakhaté