WARA affirme les notations de long terme et de court terme de la BHS à « BBB » et « w-4 » avec une perspective stable.Simultanément, le communiqué souligne que sur son échelle internationale, WARA assigne à BHS les notations et perspective suivantes : iB/Stable/iw-6.A l’en croire, la notation de BHS reflète une mission d’intérêt publique de la banque au travers du financement d’habitat social, le rôle prépondérant de l’institution dans le financement du secteur de l’immobilier au Sénégal, sa position de leader dans le financement de l’immobilier au Sénégal et une conformité avec les exigences règlementaires de solvabilité grâce à un niveau robuste de ses fonds propres.
En revanche, poursuit l’agence, sa notation est contrainte par la taille réduite de son réseau quoiqu’en constante expansion et une offre commerciale limitée, la faible qualité du portefeuille de créances de l’institution toutefois compensée par la bonne granularité de ce dernier, ce qui constitue un facteur de mitigation important, une efficience opérationnelle faible expliquée par un coût de refinancement élevé, un gap de maturité inhérent à son modèle d’affaires, ce qui impacte son profil de liquidité. « Cela dit, ce facteur de risque est partiellement mitigé par la forte granularité des dépôts et les efforts consentis par la direction pour accéder à des ressources de moyen/long terme », explique WARA.
Dans la foulée, elle confie que la notation de contrepartie à long terme en devise locale de BHS (BBB) bénéficie de deux crans de support externe. De fait, ajoute-t-elle, BHS peut bénéficier au maximum de 3 crans de support externe. Et d’après le document, WARA décide néanmoins d’octroyer à la BHS 2 crans de support externe en raison de la participation minoritaire (17,74%) de l’Etat du Sénégal dans le capital de la banque.
Par ailleurs, WARA, relève qu’une amélioration de la notation de BHS est tributaire entre autres de celle de la notation du Sénégal, ce qui parait peu probable à court terme, d’une amélioration significative du contexte macroéconomique et/ou sectoriel sénégalais, ce qui parait peu probable à moyen terme, mais possible à long terme, du gain significatif et durable de part de marché au Sénégal, et surtout au-delà de son cœur de métier.
Dans le même, l’agence fait savoir qu’une détérioration de la notation de BHS serait la conséquence du reflux de l’Etat du Sénégal quant à sa politique de soutien au secteur de l’immobilier en général et la production d’habitats sociaux en particulier, ce qui parait très peu probable à moyen terme au vue des projets en cours de réalisation, d’une détérioration des résultats de BHS par une augmentation des défaillances de son portefeuille de clients et/ou par un manquede maîtrise des charges d’exploitation qui devront augmenter du fait de la croissance de l’activité etc.
Bassirou MBAYE
En revanche, poursuit l’agence, sa notation est contrainte par la taille réduite de son réseau quoiqu’en constante expansion et une offre commerciale limitée, la faible qualité du portefeuille de créances de l’institution toutefois compensée par la bonne granularité de ce dernier, ce qui constitue un facteur de mitigation important, une efficience opérationnelle faible expliquée par un coût de refinancement élevé, un gap de maturité inhérent à son modèle d’affaires, ce qui impacte son profil de liquidité. « Cela dit, ce facteur de risque est partiellement mitigé par la forte granularité des dépôts et les efforts consentis par la direction pour accéder à des ressources de moyen/long terme », explique WARA.
Dans la foulée, elle confie que la notation de contrepartie à long terme en devise locale de BHS (BBB) bénéficie de deux crans de support externe. De fait, ajoute-t-elle, BHS peut bénéficier au maximum de 3 crans de support externe. Et d’après le document, WARA décide néanmoins d’octroyer à la BHS 2 crans de support externe en raison de la participation minoritaire (17,74%) de l’Etat du Sénégal dans le capital de la banque.
Par ailleurs, WARA, relève qu’une amélioration de la notation de BHS est tributaire entre autres de celle de la notation du Sénégal, ce qui parait peu probable à court terme, d’une amélioration significative du contexte macroéconomique et/ou sectoriel sénégalais, ce qui parait peu probable à moyen terme, mais possible à long terme, du gain significatif et durable de part de marché au Sénégal, et surtout au-delà de son cœur de métier.
Dans le même, l’agence fait savoir qu’une détérioration de la notation de BHS serait la conséquence du reflux de l’Etat du Sénégal quant à sa politique de soutien au secteur de l’immobilier en général et la production d’habitats sociaux en particulier, ce qui parait très peu probable à moyen terme au vue des projets en cours de réalisation, d’une détérioration des résultats de BHS par une augmentation des défaillances de son portefeuille de clients et/ou par un manquede maîtrise des charges d’exploitation qui devront augmenter du fait de la croissance de l’activité etc.
Bassirou MBAYE