En assemblée générale mercredi dans leurs locaux, suivi d’un point de presse, ces travailleurs ont interpellé les autorités sénégalaises à la tête desquelles le président Macky Sall sir les menaces qui pèsent sur leur outil de travail à cause de ce célèbre entrepreneur sénégalais qui est en train de construire un grand immeuble transposant l’une des piscine de leur hôtel, perturbant ainsi ‘’la quiétude et la sécurité’’ des clients.
‘’Cette situation a fait que les clients touristiques et autres tours opérators ont commencé à boudé l’hôtel, constituant ainsi une menace sur la survie de cette entreprise hôtelière, avec une éventuelle perte de la plupart des employés qui pourraient se retrouver au chômage’’ ; a alerté Mamadou Diouf, secrétaire général de l’Union départemental des syndicats affiliés à la Confédération nationale des travailleurs du Sénégal (CNTS).
Ces travailleurs n’arrivent toujours pas à comprendre que le président de la République puisse déclarer 2018 ‘’Année social’’ et en même temps vouloir assister à la fermeture d’autres hôtels, particulièrement sur la Petite Côte, principale zone touristique du Sénégal.
‘’Nous avons déjà perdu le domaine de Nianing, Laguna Beach, Sarène Beach, Club Aldiana de Nianing, Espadon club, Savana Saly et Savana Kumba. Si nous baissons les bras et que rien n’est fait, nous allons vers la fermeture de l’hôtel Baobab de Somone. C’est pourquoi nous avons décidé de lutter farouchement pour contrecarrer la décision de cet entrepreneur de construire son immeuble sur le DPM, à travers une bataille assez rude ’’, a déclaré M. Diouf.
Ces travailleurs de cet hôtel, au nombre de 405 emplois directs et 300 emplois indirects, qui enregistre 17 000 touristes chaque mois, pourraient envoyer au chômage une bonne partie des salariés, compte non tenu des autres sénégalais qui profitent des retombées des activités touristiques.
‘’Nous sommes venus appuyer nos camarades travailleurs qui sont là dans toutes leurs actions et dans tous les domaines, afin qu’une solution heureuse soit trouvée à ce problème, parce que nous estimons que le DPM doit être préservé et valorisé pendant qu’il est temps, pour ne pas envoyer des centaines de soutiens de familles au chômage’’, a indiqué le syndicaliste.
‘’Nous avions déjà rencontré le maire de Somone, le préfet du département de Mbour et le ministre du Tourisme et les hommes. Ce qui avait abouti à l’arrêt des travaux. Aujourd’hui, à notre grande surprise, les travaux de construction de cet immeuble ont repris grâce à on ne sait quoi ou qui’’, s’est désolé M. Diouf.
Si rien n’est fait par les pouvoirs publics pour mettre résoudre ce problème, les travailleurs menacent de passer à une vitesse supérieure, en commençant d’abord par une marche de protestation, ‘’parce que nous ne croiserons pas les bras face à la menace sur les emplois’’, a prévenu, pour sa part, Aliou Youm, président du collège des délégués du personnel de cet hôtel.
‘’Nous ne reculerons devant rien pour sauver les emplois et sauvegarder notre principal outil de travail que constitue cet hôtel’’, a laissé entendre Youm qui estime que ce genre de pratique ne contribue ‘’nullement’’ à la promotion de la destination Sénégal.
Serigne Makhtar Fall
‘’Cette situation a fait que les clients touristiques et autres tours opérators ont commencé à boudé l’hôtel, constituant ainsi une menace sur la survie de cette entreprise hôtelière, avec une éventuelle perte de la plupart des employés qui pourraient se retrouver au chômage’’ ; a alerté Mamadou Diouf, secrétaire général de l’Union départemental des syndicats affiliés à la Confédération nationale des travailleurs du Sénégal (CNTS).
Ces travailleurs n’arrivent toujours pas à comprendre que le président de la République puisse déclarer 2018 ‘’Année social’’ et en même temps vouloir assister à la fermeture d’autres hôtels, particulièrement sur la Petite Côte, principale zone touristique du Sénégal.
‘’Nous avons déjà perdu le domaine de Nianing, Laguna Beach, Sarène Beach, Club Aldiana de Nianing, Espadon club, Savana Saly et Savana Kumba. Si nous baissons les bras et que rien n’est fait, nous allons vers la fermeture de l’hôtel Baobab de Somone. C’est pourquoi nous avons décidé de lutter farouchement pour contrecarrer la décision de cet entrepreneur de construire son immeuble sur le DPM, à travers une bataille assez rude ’’, a déclaré M. Diouf.
Ces travailleurs de cet hôtel, au nombre de 405 emplois directs et 300 emplois indirects, qui enregistre 17 000 touristes chaque mois, pourraient envoyer au chômage une bonne partie des salariés, compte non tenu des autres sénégalais qui profitent des retombées des activités touristiques.
‘’Nous sommes venus appuyer nos camarades travailleurs qui sont là dans toutes leurs actions et dans tous les domaines, afin qu’une solution heureuse soit trouvée à ce problème, parce que nous estimons que le DPM doit être préservé et valorisé pendant qu’il est temps, pour ne pas envoyer des centaines de soutiens de familles au chômage’’, a indiqué le syndicaliste.
‘’Nous avions déjà rencontré le maire de Somone, le préfet du département de Mbour et le ministre du Tourisme et les hommes. Ce qui avait abouti à l’arrêt des travaux. Aujourd’hui, à notre grande surprise, les travaux de construction de cet immeuble ont repris grâce à on ne sait quoi ou qui’’, s’est désolé M. Diouf.
Si rien n’est fait par les pouvoirs publics pour mettre résoudre ce problème, les travailleurs menacent de passer à une vitesse supérieure, en commençant d’abord par une marche de protestation, ‘’parce que nous ne croiserons pas les bras face à la menace sur les emplois’’, a prévenu, pour sa part, Aliou Youm, président du collège des délégués du personnel de cet hôtel.
‘’Nous ne reculerons devant rien pour sauver les emplois et sauvegarder notre principal outil de travail que constitue cet hôtel’’, a laissé entendre Youm qui estime que ce genre de pratique ne contribue ‘’nullement’’ à la promotion de la destination Sénégal.
Serigne Makhtar Fall