chroniques
« Dans le sous-secteur de l’hydraulique rurale, le taux d’accès global à l’eau potable est de 84,1% en fin décembre 2013 pour une cible en 2015 de 82% » a-t-il expliqué.
Ajoutant que « La qualité du service de l’eau potable en milieu rural s’est également améliorée en 2013 avec un taux de disponibilité des forages ruraux motorisés qui a atteint 98% contre 97% en décembre 2012 ».
Pape Diouf, ministre de l’hydraulique et de l’assainissement présidait la cérémonie d’ouverture de la revue annuelle du programme d’eau potable et d’assainissement du millénaire (PEPAM 2015).
« Nul doute qu’avec la création de l’office des forages ruraux (OFOR) déjà effective, l’introduction progressive de la délégation de service public à des opérateurs privés, la qualité du service de l’eau potable en milieu rural connaitra des améliorations certaines pour les prochaines années » a indiqué M. Diouf.
« Pour le sous-secteur de l’hydraulique urbaine , les réalisations de la SONES et de la SDE en matière d’extensions de réseau et de pose de branchements privés ont permis d’atteindre un taux d’accès à l’eau par branchement de 89 , 4% dans le périmètre affermé et un taux d’accès global dans le périmètre de 98%, a fait savoir le ministre en charge du secteur de l’hydraulique au Sénégal.
Toutefois, « des efforts devront être consentis dans les zones périurbaines de Dakar et des autres centres urbains du périmètre affermé afin de corriger les disparités moyennes qui y sont actuellement relevées » a- t-il reconnu.
Il a rappelé également que « Les perturbations enregistrées en septembre 2013 suite à la rupture de la pièce spéciale de l’usine Keur Momar Sarr, ont montré la vulnérabilité de notre système d’alimentation en eau et ont fait ressortir l’urgence de diversifier les sources d’approvisionnement en eau pour la région de Dakar ».
« Le gouvernement du Sénégal est résolument engagé dans cette voie avec des options envisageables allant au renforcement du captage au dessalement de l’eau de mer » a-t-il rassuré.
« Pour le sous-secteur de l’assainissement, il y a encore des efforts à faire. Il est envisagé de faire de gros efforts dans ce domaine au-delà de 2015, dans le but d’améliorer le taux d’accès. Nous avions un objectif d’atteindre un taux de 78% en milieu urbain et de 63% en milieu rural en 2015 (…) à un an de l’échéance, nous n’avons pas encore atteint ces objectifs et nous ne les atteindrons pas en 2015 » a ajouté Pape Diouf.
Ndeye Maguette Kébé
Ajoutant que « La qualité du service de l’eau potable en milieu rural s’est également améliorée en 2013 avec un taux de disponibilité des forages ruraux motorisés qui a atteint 98% contre 97% en décembre 2012 ».
Pape Diouf, ministre de l’hydraulique et de l’assainissement présidait la cérémonie d’ouverture de la revue annuelle du programme d’eau potable et d’assainissement du millénaire (PEPAM 2015).
« Nul doute qu’avec la création de l’office des forages ruraux (OFOR) déjà effective, l’introduction progressive de la délégation de service public à des opérateurs privés, la qualité du service de l’eau potable en milieu rural connaitra des améliorations certaines pour les prochaines années » a indiqué M. Diouf.
« Pour le sous-secteur de l’hydraulique urbaine , les réalisations de la SONES et de la SDE en matière d’extensions de réseau et de pose de branchements privés ont permis d’atteindre un taux d’accès à l’eau par branchement de 89 , 4% dans le périmètre affermé et un taux d’accès global dans le périmètre de 98%, a fait savoir le ministre en charge du secteur de l’hydraulique au Sénégal.
Toutefois, « des efforts devront être consentis dans les zones périurbaines de Dakar et des autres centres urbains du périmètre affermé afin de corriger les disparités moyennes qui y sont actuellement relevées » a- t-il reconnu.
Il a rappelé également que « Les perturbations enregistrées en septembre 2013 suite à la rupture de la pièce spéciale de l’usine Keur Momar Sarr, ont montré la vulnérabilité de notre système d’alimentation en eau et ont fait ressortir l’urgence de diversifier les sources d’approvisionnement en eau pour la région de Dakar ».
« Le gouvernement du Sénégal est résolument engagé dans cette voie avec des options envisageables allant au renforcement du captage au dessalement de l’eau de mer » a-t-il rassuré.
« Pour le sous-secteur de l’assainissement, il y a encore des efforts à faire. Il est envisagé de faire de gros efforts dans ce domaine au-delà de 2015, dans le but d’améliorer le taux d’accès. Nous avions un objectif d’atteindre un taux de 78% en milieu urbain et de 63% en milieu rural en 2015 (…) à un an de l’échéance, nous n’avons pas encore atteint ces objectifs et nous ne les atteindrons pas en 2015 » a ajouté Pape Diouf.
Ndeye Maguette Kébé
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