«La résilience des ménages et l’inclusion sociale ont été considérablement raffermies. Conformément aux indications du Président de la République, le pouvoir d’achat a été soutenu pour 19 réduire considérablement les inégalités. En définitive, en 2022, les subventions ont couté 717 milliards, soit 4,4% du Pib. C’est ainsi que le secteur de l’énergie a bénéficié de subventions directes de 300 milliards. Celles-ci ont permis de maîtriser les prix de l’électricité, du gaz butane et du carburant, particulièrement le gasoil qui constitue le produit pétrolier le plus utilisé par les consommateurs aux revenus les plus modestes », a révélé le chef du gouvernement.
Il a ajouté que la stabilisation des prix des produits de grande consommation des ménages aura coûté un montant global de 157 milliards en 2022. Amadou Ba a précisé que les principaux produits concernés par ce soutien direct aux ménages sont le blé, l’huile, le sucre, le riz et le maïs.
«Un montant de 450 milliards est prévu au titre des subventions pour l’année 2023 dont 350 milliards pour l’énergie. En tout état de cause, en 2023, les subventions ne dépasseront pas 2,2% du Pib. Parallèlement, des mesures spécifiques sont prévues pour les réduire, notamment dans les domaines de l’électricité et du carburant, afin d’éviter des dérapages susceptibles de porter atteinte aux équilibres budgétaires. Mieux, la distribution des subventions sociales sera davantage ciblée », a confié M. Ba. Il a expliqué que la différentiation sera opérée entre les bénéficiaires, de sorte à fournir plus d’aide à ceux qui en ont le plus besoin.
Adou Faye
Il a ajouté que la stabilisation des prix des produits de grande consommation des ménages aura coûté un montant global de 157 milliards en 2022. Amadou Ba a précisé que les principaux produits concernés par ce soutien direct aux ménages sont le blé, l’huile, le sucre, le riz et le maïs.
«Un montant de 450 milliards est prévu au titre des subventions pour l’année 2023 dont 350 milliards pour l’énergie. En tout état de cause, en 2023, les subventions ne dépasseront pas 2,2% du Pib. Parallèlement, des mesures spécifiques sont prévues pour les réduire, notamment dans les domaines de l’électricité et du carburant, afin d’éviter des dérapages susceptibles de porter atteinte aux équilibres budgétaires. Mieux, la distribution des subventions sociales sera davantage ciblée », a confié M. Ba. Il a expliqué que la différentiation sera opérée entre les bénéficiaires, de sorte à fournir plus d’aide à ceux qui en ont le plus besoin.
Adou Faye