M. Ndioum faisait mardi exposé sur la situation environnementale de la ville de Thiès, lors d'un atelier d'échanges et partage d'expériences consacré au partenariat liant la capitale du rail à la ville allemande de Solingen.
Intitulé "50 partenariats communaux pour le climat d'ici 2015", cet atelier se poursuit jusqu'à vendredi dans la capitale du rail. Il réunit des conseillers municipaux de la ville de Solingen et de la ville de Thiès, ainsi que des experts en environnement et changements climatiques.
Selon Souleymane Ndioum, la situation des ordures résulte à Thiès d'un problème de ramassage, qui favorise à son tour un dépôt sauvage des déchets dans des canaux d'évacuation des eaux usées et pluviales. A terme, cela provoque des inondations au niveau de certains quartiers de la ville de Thiès.
Concernant l'assainissement, M. Ndioum a indiqué que seuls 19 des 59 quartiers de Thiès sont branchés au réseau de la station d'épuration de Keur Saïb Ndoye, d'une capacité de 3000 m3/ heure.
Il préconise la restauration des jardins publics abandonnés et le renouvellement de certaines espèces d'arbre - caïcedrat -, en vue de protéger le poumon vert et la forêt classée de Allou Kagne.
De cette manière, il pourrait selon lui se créer un "cadre de vie plus conforme aux normes environnementales" dans la ville de Thiès. L'expert a aussi suggéré la mise en place de stratégies de réduction de la vulnérabilité de la capitale du rail dans ce domaine, en partant de réponses de protection et de conservation des ressources naturelles.
L'application du Code de l'eau, de l'environnement et du Code forestier et minier "sont autant d'aspects institutionnels pour une bonne protection de l'environnement et de la biodiversité", a-t-il relevé.
APS
Intitulé "50 partenariats communaux pour le climat d'ici 2015", cet atelier se poursuit jusqu'à vendredi dans la capitale du rail. Il réunit des conseillers municipaux de la ville de Solingen et de la ville de Thiès, ainsi que des experts en environnement et changements climatiques.
Selon Souleymane Ndioum, la situation des ordures résulte à Thiès d'un problème de ramassage, qui favorise à son tour un dépôt sauvage des déchets dans des canaux d'évacuation des eaux usées et pluviales. A terme, cela provoque des inondations au niveau de certains quartiers de la ville de Thiès.
Concernant l'assainissement, M. Ndioum a indiqué que seuls 19 des 59 quartiers de Thiès sont branchés au réseau de la station d'épuration de Keur Saïb Ndoye, d'une capacité de 3000 m3/ heure.
Il préconise la restauration des jardins publics abandonnés et le renouvellement de certaines espèces d'arbre - caïcedrat -, en vue de protéger le poumon vert et la forêt classée de Allou Kagne.
De cette manière, il pourrait selon lui se créer un "cadre de vie plus conforme aux normes environnementales" dans la ville de Thiès. L'expert a aussi suggéré la mise en place de stratégies de réduction de la vulnérabilité de la capitale du rail dans ce domaine, en partant de réponses de protection et de conservation des ressources naturelles.
L'application du Code de l'eau, de l'environnement et du Code forestier et minier "sont autant d'aspects institutionnels pour une bonne protection de l'environnement et de la biodiversité", a-t-il relevé.
APS