Selon l’institut d’émission, les retraits nets effectués aux guichets des banques par la clientèle ont augmenté de 238.6 milliards, dégradant la trésorerie propre des banques.
De même, les émissions de transferts hors Uemoa, qui ont été plus importantes que les réceptions au cours du mois, ont accentué cette dégradation. Le solde positif des opérations avec les Etats et des autres facteurs nets qui est ressorti excédentaire de 139,0 milliards a atténué l’impact de l’incidence négative des autres facteurs.
Durant le même mois, les refinancements de la Banque centrale en faveur des banques se sont accrus de 173,0 milliards en réponse à la hausse de leurs demandes. En conséquence, la liquidité bancaire a enregistré une baisse de 27,9 milliards.
Au niveau des réserves obligatoires, l’analyse de la mise en œuvre du dispositif, au terme de la période de constitution échue le 15 octobre 2020, fait apparaître une situation excédentaire pour les banques de l’Union par rapport aux réserves requises. Les réserves libres des banques, évaluées sur la période, sont ressorties à 1.619,6 milliards, soit 206,2% des réserves requises.
Adou FAYE
De même, les émissions de transferts hors Uemoa, qui ont été plus importantes que les réceptions au cours du mois, ont accentué cette dégradation. Le solde positif des opérations avec les Etats et des autres facteurs nets qui est ressorti excédentaire de 139,0 milliards a atténué l’impact de l’incidence négative des autres facteurs.
Durant le même mois, les refinancements de la Banque centrale en faveur des banques se sont accrus de 173,0 milliards en réponse à la hausse de leurs demandes. En conséquence, la liquidité bancaire a enregistré une baisse de 27,9 milliards.
Au niveau des réserves obligatoires, l’analyse de la mise en œuvre du dispositif, au terme de la période de constitution échue le 15 octobre 2020, fait apparaître une situation excédentaire pour les banques de l’Union par rapport aux réserves requises. Les réserves libres des banques, évaluées sur la période, sont ressorties à 1.619,6 milliards, soit 206,2% des réserves requises.
Adou FAYE