M. Fedotov a pris la parole lors de l'ouverture d'une conférence sur la protection du sport contre la corruption, organisée par l'ONUDC, en partenariat avec le Brésil, la Chine, l'Inde, la Russie et l'Afrique du Sud. L'événement de deux jours rassemble plus de 250 participants d'organismes nationaux des forces de l'ordre, d'organisations anti-corruption et d'organisations sportives ainsi que d'entités du secteur privé de plus de 60 pays.
« Nous comprenons et apprécions de mieux en mieux les mesures prises pour protéger le sport de la corruption. Ces dernières représentent un investissement, avec des avantages économiques et sociaux évidents », a poursuivi M. Fedotov, qualifiant la réunion d'opportunité de tirer parti de cette dynamique, de partager des ressources et des pratiques optimales.
« Ensemble, nous pouvons promouvoir l'intégrité, empêcher les criminels d'exploiter le sport à des fins illicites et nous devons utiliser le sport en tant que force de développement et de paix », a-t-il ajouté.
M. Fedotov a souligné le travail de l'ONUDC dans la lutte contre la corruption sportive et a souligné l'importance des partenariats avec le Comité international olympique, la Fédération Internationale de Football Association (FIFA) et d'autres afin de promouvoir l'intégrité sportive dans le monde.
Il a ensuite salué les efforts déployés par les États Membres, notamment l'adoption de la résolution sur la corruption dans le sport à la septième session de la Conférence des États parties à la Convention des Nations Unies contre la corruption, en novembre 2017.
Soutenue par 183 États parties à la Convention, la résolution représente une étape importante dans la lutte contre la corruption dans le sport. Elle expose un large éventail de questions à traiter et de mesures pour s'attaquer à ce problème, notamment la passation de marchés, l'organisation d'événements sportifs, le trucage de matchs, les paris illégaux, la protection du déclarant et la bonne gouvernance.
La conférence aborde les défis, notamment la détection de la corruption et sa répression, la lutte contre la corruption dans les marchés publics, la lutte contre les trucages et la lutte contre les convergences avec d'autres crimes comme la cybercriminalité, la traite des êtres humains et le trafic de migrants.
Des représentants de la Confédération asiatique de football, de la FIFA, du Conseil international de cricket, de la Fédération internationale du sport électronique, du Comité international olympique, de la Fédération internationale d'haltérophilie, de l'Unité d'intégrité du tennis et de l'Union des associations européennes de football (UEFA) étaient également présents.
Un.org
« Nous comprenons et apprécions de mieux en mieux les mesures prises pour protéger le sport de la corruption. Ces dernières représentent un investissement, avec des avantages économiques et sociaux évidents », a poursuivi M. Fedotov, qualifiant la réunion d'opportunité de tirer parti de cette dynamique, de partager des ressources et des pratiques optimales.
« Ensemble, nous pouvons promouvoir l'intégrité, empêcher les criminels d'exploiter le sport à des fins illicites et nous devons utiliser le sport en tant que force de développement et de paix », a-t-il ajouté.
M. Fedotov a souligné le travail de l'ONUDC dans la lutte contre la corruption sportive et a souligné l'importance des partenariats avec le Comité international olympique, la Fédération Internationale de Football Association (FIFA) et d'autres afin de promouvoir l'intégrité sportive dans le monde.
Il a ensuite salué les efforts déployés par les États Membres, notamment l'adoption de la résolution sur la corruption dans le sport à la septième session de la Conférence des États parties à la Convention des Nations Unies contre la corruption, en novembre 2017.
Soutenue par 183 États parties à la Convention, la résolution représente une étape importante dans la lutte contre la corruption dans le sport. Elle expose un large éventail de questions à traiter et de mesures pour s'attaquer à ce problème, notamment la passation de marchés, l'organisation d'événements sportifs, le trucage de matchs, les paris illégaux, la protection du déclarant et la bonne gouvernance.
La conférence aborde les défis, notamment la détection de la corruption et sa répression, la lutte contre la corruption dans les marchés publics, la lutte contre les trucages et la lutte contre les convergences avec d'autres crimes comme la cybercriminalité, la traite des êtres humains et le trafic de migrants.
Des représentants de la Confédération asiatique de football, de la FIFA, du Conseil international de cricket, de la Fédération internationale du sport électronique, du Comité international olympique, de la Fédération internationale d'haltérophilie, de l'Unité d'intégrité du tennis et de l'Union des associations européennes de football (UEFA) étaient également présents.
Un.org