chroniques
L’annonce a été faite, par Thierno Aliou Tall, technicien spécialisé à la direction de SOHC/ANCAR de Tamba, au cours d’un atelier de formation de deux jours qui se tient au Centre touristique de Vélingara.
‘’L’ANCAR, en partenariat avec le Fonds national de recherches agricoles et agro-alimentaires (FNRAA), soutient les paysans pour que ces derniers aient des rendements meilleurs qui pourront considérablement améliorer les revenus des ménages ruraux. Pour cela, nous devons nécessairement les aider à reconstituer le capital de semences certifiées du maïs’’, a expliqué M. Tall.
‘’Nous cherchons à ce que les producteurs évitent les semences tout-venant. Nous avons remarqué qu’à l’approche de l’hivernage, ils utilisent des variétés de semences qui ne sont pas de qualité. C’est ce qui engendre les mauvais rendements’’, a-t-il rappelé.
Le projet a aussi pour objectif d’aider les producteurs à bien conserver et stocker les semences, a-t-il ajouté.
‘’Nous sommes dans une perspectives d’organiser les producteurs, en mettant en place des comités de gestion de semences paysannes dans chaque collectivité locale située dans nos zones d’intervention’’, a-t-il précisé.
‘’A terme, a-t-il dit, nous comptons mettre en place un réseau de multiplicateurs de semences certifiées, qui va assurer la pérennisation des activités du projet’’, lequel s’étend jusqu’en 2015 avec l’ambition de réussir 157,5 tonnes de maïs certifié dans les 17 communautés rurales concernées.
APS
‘’L’ANCAR, en partenariat avec le Fonds national de recherches agricoles et agro-alimentaires (FNRAA), soutient les paysans pour que ces derniers aient des rendements meilleurs qui pourront considérablement améliorer les revenus des ménages ruraux. Pour cela, nous devons nécessairement les aider à reconstituer le capital de semences certifiées du maïs’’, a expliqué M. Tall.
‘’Nous cherchons à ce que les producteurs évitent les semences tout-venant. Nous avons remarqué qu’à l’approche de l’hivernage, ils utilisent des variétés de semences qui ne sont pas de qualité. C’est ce qui engendre les mauvais rendements’’, a-t-il rappelé.
Le projet a aussi pour objectif d’aider les producteurs à bien conserver et stocker les semences, a-t-il ajouté.
‘’Nous sommes dans une perspectives d’organiser les producteurs, en mettant en place des comités de gestion de semences paysannes dans chaque collectivité locale située dans nos zones d’intervention’’, a-t-il précisé.
‘’A terme, a-t-il dit, nous comptons mettre en place un réseau de multiplicateurs de semences certifiées, qui va assurer la pérennisation des activités du projet’’, lequel s’étend jusqu’en 2015 avec l’ambition de réussir 157,5 tonnes de maïs certifié dans les 17 communautés rurales concernées.
APS
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