Le Conseil des ministres de l’Uemoa a adopté le deuxième collectif au Budget de l’Union au titre de l’année 2021. C’était lors de sa deuxième session ordinaire de l'année, tenue le 28 juin dernier, par visioconférence.
Ce deuxième collectif consacre, selon le communiqué issu de la rencontre, conformément à l’article 10 du Règlement financier n° 01/2018/CM/UEMOA du 23 mars 2018 portant Règlement financier des Organes de l’Uemoa, le report de certains crédits liés à des engagements juridiques pris par les Organes de l’Union au titre de l’exercice 2020 non consommés à la fin de ladite gestion au Budget 2021.
Cela, afin d’éviter leur annulation d’une part, et la prise en compte des ressources extérieures destinées à accompagner les Etats membres dans le cadre du Programme d'Harmonisation et de Modernisation des enquêtes sur les conditions de vie des ménages, d’autre part.
Le Conseil des ministres a également examiné le Rapport semestriel d'exécution de la Surveillance Multilatérale du premier semestre 2021.
En ce sens, il constate que pour 2020, en dépit du contexte difficile dû à la pandémie de Covid-19 qui a induit une aggravation du déficit budgétaire, les Etats membres de l’Union ont montré une résilience.
En effet, explique le document, le taux de croissance économique est ressorti positif en se situant à 1,6% après 5,7% en 2019 dans un contexte où la plupart des économies du monde sont entrées en récession.
Les ministres ont noté, dans la foulée, que l’activité économique s’est déroulée dans un contexte de maitrise des prix avec un taux d’inflation annuel moyen qui est ressorti à +2,1% contre -0,7% en 2019.
Ils saluent, par ailleurs, les efforts entrepris par les Etats et les Institutions régionales pour contenir les effets négatifs de la crise sur les économies.
5,7% de croissance et une réduction du déficit budgétaire pour 2021
A en croire le communiqué de presse, le Conseil note que pour l’année 2021, les prévisions tablent sur une amélioration de la situation économique dans tous les Etats membres.
Dans cette lancée, il rapporte qu’après le fléchissement constaté en 2020, le taux de croissance de l’Union ressortirait à 5,7% avec une réduction du déficit budgétaire dans la plupart des Etats membres.
Bassirou MBAYE
Ce deuxième collectif consacre, selon le communiqué issu de la rencontre, conformément à l’article 10 du Règlement financier n° 01/2018/CM/UEMOA du 23 mars 2018 portant Règlement financier des Organes de l’Uemoa, le report de certains crédits liés à des engagements juridiques pris par les Organes de l’Union au titre de l’exercice 2020 non consommés à la fin de ladite gestion au Budget 2021.
Cela, afin d’éviter leur annulation d’une part, et la prise en compte des ressources extérieures destinées à accompagner les Etats membres dans le cadre du Programme d'Harmonisation et de Modernisation des enquêtes sur les conditions de vie des ménages, d’autre part.
Le Conseil des ministres a également examiné le Rapport semestriel d'exécution de la Surveillance Multilatérale du premier semestre 2021.
En ce sens, il constate que pour 2020, en dépit du contexte difficile dû à la pandémie de Covid-19 qui a induit une aggravation du déficit budgétaire, les Etats membres de l’Union ont montré une résilience.
En effet, explique le document, le taux de croissance économique est ressorti positif en se situant à 1,6% après 5,7% en 2019 dans un contexte où la plupart des économies du monde sont entrées en récession.
Les ministres ont noté, dans la foulée, que l’activité économique s’est déroulée dans un contexte de maitrise des prix avec un taux d’inflation annuel moyen qui est ressorti à +2,1% contre -0,7% en 2019.
Ils saluent, par ailleurs, les efforts entrepris par les Etats et les Institutions régionales pour contenir les effets négatifs de la crise sur les économies.
5,7% de croissance et une réduction du déficit budgétaire pour 2021
A en croire le communiqué de presse, le Conseil note que pour l’année 2021, les prévisions tablent sur une amélioration de la situation économique dans tous les Etats membres.
Dans cette lancée, il rapporte qu’après le fléchissement constaté en 2020, le taux de croissance de l’Union ressortirait à 5,7% avec une réduction du déficit budgétaire dans la plupart des Etats membres.
Bassirou MBAYE