M. Sarr s’exprimait lors de la session inaugurale du forum scientifique de la 23èmeédition de la foire internationale de Dakar (FIDAK).
« Acheter ensemble, produire ensemble et vendre ensemble représente un pouvoir de négociation pour la CEDEAO », a notamment laissé entendre M. Sarr. Selon lui, les pays ouest africains pourront résister à l’extérieur s’ils peuvent commencer à « gérer ce 16ème pays qu’est la CEDEAO ».
Pour M. Sarr, les bienfaits de l’intégration ne sont plus à démontrer. A titre d’exemple, il estime que l’électricité au Sénégal deviendra moins chère si les infrastructures de production étaient édifiées pour 300 millions de consommateurs au lieu des 13 millions actuels au Sénégal. Il en est de même des autres secteurs de l’économie.
M. Doudou Sarr a, sur un autre registre, plaidé pour un repositionnement des ministères chargés de l’intégration africaine dotés de l’autorité nécessaire. « L’intégration est un domaine de souveraineté. C’est plus important que le département des affaires étrangères », affirme-t-il. A ses yeux, le Mali a compris cela car c’est le Premier ministre malien qui a en charge le ministère de l’intégration africaine.
El Hadj Diakhaté
« Acheter ensemble, produire ensemble et vendre ensemble représente un pouvoir de négociation pour la CEDEAO », a notamment laissé entendre M. Sarr. Selon lui, les pays ouest africains pourront résister à l’extérieur s’ils peuvent commencer à « gérer ce 16ème pays qu’est la CEDEAO ».
Pour M. Sarr, les bienfaits de l’intégration ne sont plus à démontrer. A titre d’exemple, il estime que l’électricité au Sénégal deviendra moins chère si les infrastructures de production étaient édifiées pour 300 millions de consommateurs au lieu des 13 millions actuels au Sénégal. Il en est de même des autres secteurs de l’économie.
M. Doudou Sarr a, sur un autre registre, plaidé pour un repositionnement des ministères chargés de l’intégration africaine dotés de l’autorité nécessaire. « L’intégration est un domaine de souveraineté. C’est plus important que le département des affaires étrangères », affirme-t-il. A ses yeux, le Mali a compris cela car c’est le Premier ministre malien qui a en charge le ministère de l’intégration africaine.
El Hadj Diakhaté