M. Zonon faisait une communication sur le thème « Le PCD : enfin une réponse pour le développement socio-économique de l’espace CEDEAO » et entrant dans le cadre du forum scientifique de la 23ème édition de la 23ème édition de la foire internationale de Dakar (FIDAK).
Selon M. Zonon, ce montant découle d’une étude du Consortium de recherche économique et sociale (CRES) dont la Commission de la CEDEAO s’est attachée les services pour voir ce qu’il faudrait à l’Afrique en terme financier pour émerger. « Cela est très loin du montant du PCD qui est de 28 milliards de dollars dont 7 milliards sont déjà mobilisés et disponibles », affirme M. Zonon. Selon lui, 242 projets ont été arrêtés par les chefs d’Etats et de gouvernement en juillet 2014. Ces projets sont portés par différents acteurs : Etats, institutions et acteurs non étatiques.
« Il faut, poursuit M. Zonon, mobiliser suffisamment de ressources pour créer les investissements productifs afin d’avoir des changements en Afrique de l’Ouest ». Citant la Corée du Sud, Hong Kong et Taiwan, il soutient que ces pays sont passés dans les années 70 d’un taux d’investissement privé de 15 à 35%. Ce qui les a permis d’atteindre l`émergence rapidement.
El Hadj Diakhaté
Selon M. Zonon, ce montant découle d’une étude du Consortium de recherche économique et sociale (CRES) dont la Commission de la CEDEAO s’est attachée les services pour voir ce qu’il faudrait à l’Afrique en terme financier pour émerger. « Cela est très loin du montant du PCD qui est de 28 milliards de dollars dont 7 milliards sont déjà mobilisés et disponibles », affirme M. Zonon. Selon lui, 242 projets ont été arrêtés par les chefs d’Etats et de gouvernement en juillet 2014. Ces projets sont portés par différents acteurs : Etats, institutions et acteurs non étatiques.
« Il faut, poursuit M. Zonon, mobiliser suffisamment de ressources pour créer les investissements productifs afin d’avoir des changements en Afrique de l’Ouest ». Citant la Corée du Sud, Hong Kong et Taiwan, il soutient que ces pays sont passés dans les années 70 d’un taux d’investissement privé de 15 à 35%. Ce qui les a permis d’atteindre l`émergence rapidement.
El Hadj Diakhaté