chroniques
Alioune Sarr , ministre sénégalais en charge du commerce
M. Sarr présidait l’ouverture d’un panel sur le marché commun de la CEDEAO et l’insertion dans l’économie mondiale entrant dans le cadre du forum scientifique de la 23ème édition de la Foire internationale de Dakar (FIDAK).
« On peut notamment citer la faiblesse des facteurs de production et d’offre, le coût élevé des facteurs de production, les barrières tarifaires et non tarifaires qui affectent négativement le développement du commerce intra-régional et la compétitivité de nos produits sur le marché international », a affirmé le ministre.
M. Sarr estime que la construction d’un marché commun viable intégré constitue sans aucun doute l’une des meilleures voies pour parvenir à l’intégration de l’espace CEDEAO dans l’économie mondiale. « A l’échelle régionale, avance-t-il, la volonté d’intégration par le commerce s’est manifestée à travers plusieurs initiatives parmi lesquelles figure le schéma de libéralisation des échanges économiques, le Tarif extérieur commun (TEC) ». Mais malgré les progrès significatifs accomplis dans la mise en œuvre des différents chantiers d’intégration économique et monétaire, les populations se heurtent encore aux entraves de toutes sortes. Ce qui plombe les échanges intra-communautaire dont le total peine à dépasser les 10% là où l’Union européenne atteint 60% voire même plus.
El Hadj Diakhaté
« On peut notamment citer la faiblesse des facteurs de production et d’offre, le coût élevé des facteurs de production, les barrières tarifaires et non tarifaires qui affectent négativement le développement du commerce intra-régional et la compétitivité de nos produits sur le marché international », a affirmé le ministre.
M. Sarr estime que la construction d’un marché commun viable intégré constitue sans aucun doute l’une des meilleures voies pour parvenir à l’intégration de l’espace CEDEAO dans l’économie mondiale. « A l’échelle régionale, avance-t-il, la volonté d’intégration par le commerce s’est manifestée à travers plusieurs initiatives parmi lesquelles figure le schéma de libéralisation des échanges économiques, le Tarif extérieur commun (TEC) ». Mais malgré les progrès significatifs accomplis dans la mise en œuvre des différents chantiers d’intégration économique et monétaire, les populations se heurtent encore aux entraves de toutes sortes. Ce qui plombe les échanges intra-communautaire dont le total peine à dépasser les 10% là où l’Union européenne atteint 60% voire même plus.
El Hadj Diakhaté
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