Monsieur Mamadou Lamine N’Dongo à gauche, Monsieur Babacar Ndiaye ancien président de la Bad au centre et Monsieur Amadou Ba, ministre de l’économie et des finances à droite
« La création de la BAD est une concrétisation d’une vision panafricaine et des idéaux d’unité, de solidarité et de développement portés par les chefs d’Etats des deux groupes politiques à l’aube des indépendances de l’Afrique : le groupe de Casablanca et le groupe de Monrovia. « La tâche ne fut pas facile, mais grâce à la ténacité des uns et des autres, la BAD a vu le jour le 10 septembre 1964 », a laissé entendre M. N’Dongo. Il a aussi rendu un hommage mérité aux présidents qui se sont succédé à la tête de la Banque et dont la clairvoyance et le leadership ont permis d’arriver à des résultats hautement positifs. En effet d’avril 1967, date de la première opération à décembre 2013, le groupe de la Banque Africaine de développement (BAD) a mobilisé pour l’Afrique au titre des prêts et dons 104 milliards de dollars pour 4003 opérations
Selon M. N’Dongo ces financements ont couvert des domaines divers et variés allant des infrastructures au secteur social, en passant aux appuis aux réformes économiques, le financement des petites et moyennes entreprises etc.
En 50 ans, d’existence le capital de la BAD a considérablement augmenté. Il est passé de 250 millions de dollars en 1964 souscrit par 20 pays à 100 milliards de dollars en 2014 souscrit par 79 Etats (comprenant 54 pays africains et 25 pays non africains).
Ismaila BA
Selon M. N’Dongo ces financements ont couvert des domaines divers et variés allant des infrastructures au secteur social, en passant aux appuis aux réformes économiques, le financement des petites et moyennes entreprises etc.
En 50 ans, d’existence le capital de la BAD a considérablement augmenté. Il est passé de 250 millions de dollars en 1964 souscrit par 20 pays à 100 milliards de dollars en 2014 souscrit par 79 Etats (comprenant 54 pays africains et 25 pays non africains).
Ismaila BA