Selon un communiqué de presse, ce programme ambitieux, qui vise à améliorer considérablement les conditions de vie ainsi qu’à créer de nouvelles opportunités, positionne l’Association internationale de développement (Ida) de la Banque mondiale comme un élément essentiel du succès.
«Au-delà des déclarations, le sommet a vu la naissance d’un partenariat important - une coalition réunissant la société civile, les fondations, le secteur privé et les jeunes et qui défendra une reconstitution robuste et ambitieuse des ressources de l’Ida, pour alimenter le moteur de développement de l’Afrique », informe la Banque mondiale.
Selon la même source, un communiqué post-sommet a détaillé l’engagement indéfectible des dirigeants à renforcer la gouvernance, libérer le potentiel du secteur privé pour la création d’emplois, mobiliser les ressources nationales et tenir les promesses en matière de changement climatique.
L’accroissement de l’accès à l’énergie et au numérique, ainsi que l’amélioration de la résilience au changement climatique et aux conflits étant également au nombre des priorités. Le gouvernement du Kenya et le Groupe de la Banque mondiale qui organisaient conjointement le sommet, ont chacun souligné le rôle essentiel de l’Ida - le fonds de la Banque mondiale axé sur les personnes les plus défavorisées - et de la communauté mondiale pour soutenir les aspirations de l’Afrique.
Dr. William Ruto, président de la République du Kenya, a souligné l’urgence du changement pour le continent et son désir de capitaliser sur l’opportunité de ce moment charnière. Défendant avec ardeur le renforcement des contributions des donateurs à l’Ida-21, il a aussi souligné son rôle dans les changements transformateurs en Afrique, et dans le monde entier.
« Notre peuple et nous, les dirigeants de l’Afrique, sommes impatients de voir le changement s’opérer et nous voulons transformer le continent en ce moment de formidables opportunités », a déclaré le président Ruto. « L’Ida a été et doit rester un partenaire de développement fiable pour l’Afrique, et nous exhortons les donateurs à renforcer leurs contributions à l’Ida-21 afin qu’ensemble nous puissions avoir un impact transformateur pour une Afrique meilleure, et pour un monde meilleur. », a dit le président Kenyan.
Faisant écho à ces propos, Ajay Banga, le président du Groupe de la Banque mondiale, a souligné la nécessité d’un soutien mondial indéfectible, en particulier de la part de l’Ida, alors que l’Afrique trace sa voie vers un avenir prospère et progressiste.
« Nous sommes unis par une vision commune pour l’avenir de l’Afrique – un continent riche en diversité, en culture et en potentiel, grâce à ses jeunes et à ses ressources naturelles », a déclaré Ajay Banga.
« Ce sont les ingrédients qui peuvent alimenter notre avenir. L’Association internationale de développement a été un partenaire indéfectible dans le parcours du développement de l’Afrique, et ce sommet symbolise notre engagement collectif à accélérer les progrès. Ce qui exigera davantage de l’Ida, du Groupe de la Banque mondiale, des gouvernements et du secteur privé. », a déclaré le président de la Banque mondiale.
Adou FAYE
«Au-delà des déclarations, le sommet a vu la naissance d’un partenariat important - une coalition réunissant la société civile, les fondations, le secteur privé et les jeunes et qui défendra une reconstitution robuste et ambitieuse des ressources de l’Ida, pour alimenter le moteur de développement de l’Afrique », informe la Banque mondiale.
Selon la même source, un communiqué post-sommet a détaillé l’engagement indéfectible des dirigeants à renforcer la gouvernance, libérer le potentiel du secteur privé pour la création d’emplois, mobiliser les ressources nationales et tenir les promesses en matière de changement climatique.
L’accroissement de l’accès à l’énergie et au numérique, ainsi que l’amélioration de la résilience au changement climatique et aux conflits étant également au nombre des priorités. Le gouvernement du Kenya et le Groupe de la Banque mondiale qui organisaient conjointement le sommet, ont chacun souligné le rôle essentiel de l’Ida - le fonds de la Banque mondiale axé sur les personnes les plus défavorisées - et de la communauté mondiale pour soutenir les aspirations de l’Afrique.
Dr. William Ruto, président de la République du Kenya, a souligné l’urgence du changement pour le continent et son désir de capitaliser sur l’opportunité de ce moment charnière. Défendant avec ardeur le renforcement des contributions des donateurs à l’Ida-21, il a aussi souligné son rôle dans les changements transformateurs en Afrique, et dans le monde entier.
« Notre peuple et nous, les dirigeants de l’Afrique, sommes impatients de voir le changement s’opérer et nous voulons transformer le continent en ce moment de formidables opportunités », a déclaré le président Ruto. « L’Ida a été et doit rester un partenaire de développement fiable pour l’Afrique, et nous exhortons les donateurs à renforcer leurs contributions à l’Ida-21 afin qu’ensemble nous puissions avoir un impact transformateur pour une Afrique meilleure, et pour un monde meilleur. », a dit le président Kenyan.
Faisant écho à ces propos, Ajay Banga, le président du Groupe de la Banque mondiale, a souligné la nécessité d’un soutien mondial indéfectible, en particulier de la part de l’Ida, alors que l’Afrique trace sa voie vers un avenir prospère et progressiste.
« Nous sommes unis par une vision commune pour l’avenir de l’Afrique – un continent riche en diversité, en culture et en potentiel, grâce à ses jeunes et à ses ressources naturelles », a déclaré Ajay Banga.
« Ce sont les ingrédients qui peuvent alimenter notre avenir. L’Association internationale de développement a été un partenaire indéfectible dans le parcours du développement de l’Afrique, et ce sommet symbolise notre engagement collectif à accélérer les progrès. Ce qui exigera davantage de l’Ida, du Groupe de la Banque mondiale, des gouvernements et du secteur privé. », a déclaré le président de la Banque mondiale.
Adou FAYE