Il s’exprimait lors de la cérémonie de lancement du Projet sectoriel eau et assainissement (PSEA). Selon M. N’Dongo cette enveloppe représente 9% des engagements de la BAD au Sénégal. Le PSEA s’élève au total à 19 milliards de CFA
« Le présent atelier consacre le démarrage effectif du projet. Il a été précédé par un lancement technique qui a permis au cours des deux derniers jours d’échanger sur les objectifs, les composantes, les risques et les facteurs de succès du projet », affirme-t-il. M. N’Dongo estime aussi que l’atelier a surtout permis de familiariser davantage les équipes, du PEPAM et des parties prenantes aux règles et procédures de la BAD.
« Il me plaît de souligner que ce projet constitue une contribution de la BAD à l’ambitieux programme du Sénégal décliné dans le Plan Sénégal Emergent (PSE), programme auquel ont adhéré tous les partenaires du Sénégal », estime M. N’Dongo. Il a ajouté qu’il est la continuation du premier et du deuxième sous - programme PEPAM d’un montant global de 40 milliards de FCFA financés par la BAD, respectivement en 2005 et 2009 et qui ont contribué à l’amélioration des taux de desserte en eau potable et assainissement à plus d’un million de personnes dans les trois régions ciblées : Louga, Kaffrine et Tambacounda.
« La réalisation de ces deux sous-programmes a permis, entre autres, la réalisation de plus de 100 forages, la mise en place de plus de 20 000 branchements particuliers et de plus de 25 000 systèmes d’assainissement individuels et la mise en place de 500 associations d’usagers de forages (ASUFOR) », soutient le fonctionnaire de la BAD. Toutefois, malgré les progrès réalisés, M. N’Dongo est d’avis que des défis importants restent encore à relever dans le domaine de l’accès aux services d’eau et d’assainissement. « En effet, avance-t-il, il subsiste encore de fortes disparités des taux d’accès à l’intérieur des régions ciblées, où certaines zones affichent encore des taux inférieurs à 45 % pour l’eau potable et 30 % pour l’assainissement, contre une moyenne nationale respectivement de 81,2 % et 35,6 % ».
En milieu urbain, selon toujours M. N’Dongo, la vétusté et l’insuffisance des systèmes d’évacuation des eaux usées et pluviales expliquent les fortes inondations enregistrées pendant la saison des pluies qui provoquent des pertes en vies humaines ainsi que d’importants dégâts matériels.
Ismaila Ba
« Le présent atelier consacre le démarrage effectif du projet. Il a été précédé par un lancement technique qui a permis au cours des deux derniers jours d’échanger sur les objectifs, les composantes, les risques et les facteurs de succès du projet », affirme-t-il. M. N’Dongo estime aussi que l’atelier a surtout permis de familiariser davantage les équipes, du PEPAM et des parties prenantes aux règles et procédures de la BAD.
« Il me plaît de souligner que ce projet constitue une contribution de la BAD à l’ambitieux programme du Sénégal décliné dans le Plan Sénégal Emergent (PSE), programme auquel ont adhéré tous les partenaires du Sénégal », estime M. N’Dongo. Il a ajouté qu’il est la continuation du premier et du deuxième sous - programme PEPAM d’un montant global de 40 milliards de FCFA financés par la BAD, respectivement en 2005 et 2009 et qui ont contribué à l’amélioration des taux de desserte en eau potable et assainissement à plus d’un million de personnes dans les trois régions ciblées : Louga, Kaffrine et Tambacounda.
« La réalisation de ces deux sous-programmes a permis, entre autres, la réalisation de plus de 100 forages, la mise en place de plus de 20 000 branchements particuliers et de plus de 25 000 systèmes d’assainissement individuels et la mise en place de 500 associations d’usagers de forages (ASUFOR) », soutient le fonctionnaire de la BAD. Toutefois, malgré les progrès réalisés, M. N’Dongo est d’avis que des défis importants restent encore à relever dans le domaine de l’accès aux services d’eau et d’assainissement. « En effet, avance-t-il, il subsiste encore de fortes disparités des taux d’accès à l’intérieur des régions ciblées, où certaines zones affichent encore des taux inférieurs à 45 % pour l’eau potable et 30 % pour l’assainissement, contre une moyenne nationale respectivement de 81,2 % et 35,6 % ».
En milieu urbain, selon toujours M. N’Dongo, la vétusté et l’insuffisance des systèmes d’évacuation des eaux usées et pluviales expliquent les fortes inondations enregistrées pendant la saison des pluies qui provoquent des pertes en vies humaines ainsi que d’importants dégâts matériels.
Ismaila Ba