«Les pays ont fermement soutenu l'Accord parce qu'ils se rendent compte que leur propre intérêt national est mieux garanti par la poursuite du bien commun. Maintenant, nous devons traduire les mots en politiques et en actions efficaces», a déclaré le Secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-moon, à l'ouverture du segment de haut niveau de la COP 22, en présence du Roi Mohammed VI du Maroc.
Adopté par les 196 Parties à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC) en décembre 2015 à Paris, l'Accord appelle les Etats à lutter contre le changement climatique en visant une limitation de la hausse de la température mondiale bien en dessous de 2 degrés Celsius, et à s'efforcer de ne pas dépasser 1,5 degré Celsius. Il est entré en vigueur le 4 novembre 2016, après un processus de ratification particulièrement rapide.
Le Roi Mohammed VI du Maroc a estimé que le bilan de la COP 22 sera décisif pour le devenir de la nouvelle génération des conférences des parties, qui devront se focaliser sur l'initiative et l'action.
«En effet, l'Accord de Paris n'est pas une fin en soi. Les résultats de la Conférence de Marrakech sont, plutôt, un test réel pour mesurer la fiabilité des engagements que nous avons souscrits et la crédibilité des parties qui les ont annoncés », a-t-il ajouté.
Le Secrétaire général de l'ONU a déclaré que les Nations Unies aideront les pays à mettre en œuvre l'Accord et a appelé les pays développés à « honorer leur engagement de mobiliser un financement climatique, soit 100 milliards de dollars d'ici 2020 pour aider les pays en développement à atténuer et à s'adapter à la vulnérabilité climatique ».
Pathé TOURE
Adopté par les 196 Parties à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC) en décembre 2015 à Paris, l'Accord appelle les Etats à lutter contre le changement climatique en visant une limitation de la hausse de la température mondiale bien en dessous de 2 degrés Celsius, et à s'efforcer de ne pas dépasser 1,5 degré Celsius. Il est entré en vigueur le 4 novembre 2016, après un processus de ratification particulièrement rapide.
Le Roi Mohammed VI du Maroc a estimé que le bilan de la COP 22 sera décisif pour le devenir de la nouvelle génération des conférences des parties, qui devront se focaliser sur l'initiative et l'action.
«En effet, l'Accord de Paris n'est pas une fin en soi. Les résultats de la Conférence de Marrakech sont, plutôt, un test réel pour mesurer la fiabilité des engagements que nous avons souscrits et la crédibilité des parties qui les ont annoncés », a-t-il ajouté.
Le Secrétaire général de l'ONU a déclaré que les Nations Unies aideront les pays à mettre en œuvre l'Accord et a appelé les pays développés à « honorer leur engagement de mobiliser un financement climatique, soit 100 milliards de dollars d'ici 2020 pour aider les pays en développement à atténuer et à s'adapter à la vulnérabilité climatique ».
Pathé TOURE