C’est un enthousiasme populaire qui est noté sur le dossier de l’adhésion du Maroc dans la CEDEAO lors du premier workshop des MEDays 2018 qui a ouvert ses portes ce mercredi 7 novembre à Tanger, au Maroc. La réflexion était convoquée autour de : « Le Maroc dans la CEDEAO, réaliser la CEDEAO des peuples ».
Des pays membres qui ouvrent grandement les portes de la CEDEAO au Maroc cachent mal leur souhait d’accélérer les choses pour enfin officialiser ce mariage. C’est à l’image du Cap-Vert qui, par la voix de son ministre des affaires étrangères appelle à aller au-delà de l’accord de principe donné par les chefs d’Etats.
M. Luis Filipe Lopes Tavares estime qu’il est maintenant attendu une volonté politique forte, lors du prochain sommet des chefs d’Etats et de gouvernements, pour officialiser l’adhésion du Maroc dans la CEDEAO.
Son pays ira au-delà même en travaillant pour l’adhésion du Maroc comme observateur ou pays associé au cercle des pays lusophones.
A son avis, la CEDEAO avec le Maroc sera parmi les espaces économiques les plus dynamiques d’Afrique.
Ce qui montre que les conclusions du comité de chefs d’Etats des pays de la CEDEAO devant statuer sur ce dossier marocain, sont très attendues.
En attendant d’y parvenir, un soutien indéfectible à ce dossier est noté dans toutes les interventions enregistrées lors du premier workshop des MEDays 2018.
C’est à l’image du président du Parlement de la CEDEAO, M. Moustapha Cissé Lô qui a réaffirmé le soutien de l’instance qu’il dirige à cette demande d’adhésion. « Je réaffirme notre détermination à travailler avec le parlement marocain pour cette adhésion dans l’optique de développer notre espace ».
Même son de cloche pour l’ancien président du Bénin, M. Bony Yayi qui coprésidait la session. « Unis, nous serons plus forts », dira-t-il pour bénir cette demande du Maroc.
A son avis, l’adhésion du Maroc arrive à point nommé et elle doit être traitée en tenant compte des questions liées aux schémas de libéralisation, le Tarif Extérieur commun (Tec) de la CEDEAO ainsi que l’Accord de partenariat économique (Ape)…
Pour lui, « si le Maroc est prêt à remplir toutes ces obligations, il a le droit d’adhérer librement à notre espace communautaire ».
Ce qui fait dire à M. Mankeur Ndiaye, ancien ministre des affaires étrangères du Sénégal que « le Maroc a des relations séculaires avec les pays de la CEDEAO et sa demande d’adhésion doit être soutenue ».
Par cette occasion, M. Ndiaye a salué la démarche adoptée par l’Institut Amadeus qui s’est employé à aller recueillir les inquiétudes relevées çà et là sur ce dossier d’adhésion.
A son avis, l’étude d’impact sur cette adhésion du Maroc qui a été commanditée doit mettre l’accent sur des principes essentiels liés au droit d’établissement, des consultations avec le secteur privé mais aussi les populations…
Ce qui, à son avis, va permettre d’appréhender les inquiétudes du moment c’est parfois des peurs compréhensibles mais qui ne se justifient pas.
Pour M. Ndiaye, il faut œuvrer pour la compatibilité des attentes du Maroc avec les exigences communautaires mais aussi anticiper sur la Vision 2020 de l’organisation communautaire qui veut concrétiser le passage de « la CEDEAO des Etats, à la CEDEAO des peuples ».
Ce qui, selon Amin Laguidi, Vice-Président du cabinet africain en conseil sur les mines et l’énergie rime avec la démarche marocaine qui met l’accent sur le social avec la CEDEAO des peuples comme priorité.
Allafrica.com
Des pays membres qui ouvrent grandement les portes de la CEDEAO au Maroc cachent mal leur souhait d’accélérer les choses pour enfin officialiser ce mariage. C’est à l’image du Cap-Vert qui, par la voix de son ministre des affaires étrangères appelle à aller au-delà de l’accord de principe donné par les chefs d’Etats.
M. Luis Filipe Lopes Tavares estime qu’il est maintenant attendu une volonté politique forte, lors du prochain sommet des chefs d’Etats et de gouvernements, pour officialiser l’adhésion du Maroc dans la CEDEAO.
Son pays ira au-delà même en travaillant pour l’adhésion du Maroc comme observateur ou pays associé au cercle des pays lusophones.
A son avis, la CEDEAO avec le Maroc sera parmi les espaces économiques les plus dynamiques d’Afrique.
Ce qui montre que les conclusions du comité de chefs d’Etats des pays de la CEDEAO devant statuer sur ce dossier marocain, sont très attendues.
En attendant d’y parvenir, un soutien indéfectible à ce dossier est noté dans toutes les interventions enregistrées lors du premier workshop des MEDays 2018.
C’est à l’image du président du Parlement de la CEDEAO, M. Moustapha Cissé Lô qui a réaffirmé le soutien de l’instance qu’il dirige à cette demande d’adhésion. « Je réaffirme notre détermination à travailler avec le parlement marocain pour cette adhésion dans l’optique de développer notre espace ».
Même son de cloche pour l’ancien président du Bénin, M. Bony Yayi qui coprésidait la session. « Unis, nous serons plus forts », dira-t-il pour bénir cette demande du Maroc.
A son avis, l’adhésion du Maroc arrive à point nommé et elle doit être traitée en tenant compte des questions liées aux schémas de libéralisation, le Tarif Extérieur commun (Tec) de la CEDEAO ainsi que l’Accord de partenariat économique (Ape)…
Pour lui, « si le Maroc est prêt à remplir toutes ces obligations, il a le droit d’adhérer librement à notre espace communautaire ».
Ce qui fait dire à M. Mankeur Ndiaye, ancien ministre des affaires étrangères du Sénégal que « le Maroc a des relations séculaires avec les pays de la CEDEAO et sa demande d’adhésion doit être soutenue ».
Par cette occasion, M. Ndiaye a salué la démarche adoptée par l’Institut Amadeus qui s’est employé à aller recueillir les inquiétudes relevées çà et là sur ce dossier d’adhésion.
A son avis, l’étude d’impact sur cette adhésion du Maroc qui a été commanditée doit mettre l’accent sur des principes essentiels liés au droit d’établissement, des consultations avec le secteur privé mais aussi les populations…
Ce qui, à son avis, va permettre d’appréhender les inquiétudes du moment c’est parfois des peurs compréhensibles mais qui ne se justifient pas.
Pour M. Ndiaye, il faut œuvrer pour la compatibilité des attentes du Maroc avec les exigences communautaires mais aussi anticiper sur la Vision 2020 de l’organisation communautaire qui veut concrétiser le passage de « la CEDEAO des Etats, à la CEDEAO des peuples ».
Ce qui, selon Amin Laguidi, Vice-Président du cabinet africain en conseil sur les mines et l’énergie rime avec la démarche marocaine qui met l’accent sur le social avec la CEDEAO des peuples comme priorité.
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