
« La CEA propose une feuille de route en vue d’exploiter les eaux africaines; cette exploitation marine propulsera la transformation structurelle du continent », souligne-t-on au niveau de la CEA.
S’adressant aux participants, lors du lancement, le Secrétaire exécutif de la CEA, M. Carlos Lopes, a mis l’accent sur l’importance de l’économie bleue en Afrique. A ses yeux, 38 des 54 États africains sont des États côtiers alors que plus de 90% des importations et des exportations de l’Afrique se font par voie marine.
« Les poissons marins et d’eau douce contribuent essentiellement à la sécurité alimentaire et nutritionnelle de plus de 200 millions d’Africains », a fait remarquer M. Lopes. Il ajoute que l’exploitation de plus en plus intense des océans et des mers dans plusieurs secteurs économiques, ajoutée aux impacts du changement climatique, a contribué à la pression déjà existante du milieu marin.
L’Afrique regorge de vastes lacs et d’une base de ressources océaniques. Si toutefois ils sont pleinement exploités, ces lacs et ces ressources peuvent constituer une source importante de richesse et de développement durable pour le continent, préconise le manuel.
« L’économie bleue, bien que complémentaire de l’approche del’économie verte dans sa quête de durabilité, est cependant un concept d’une importance de développement pour l'Afrique beaucoup
plus large », souligne la CEA. Elle couvre des espaces aquatiques et marins, y compris les océans, les mers, les côtes, les lacs, les rivières et les eaux souterraines; sans oublier qu’elle comprend de nombreux secteurs productifs, tels que la pêche, l’aquaculture, le tourisme, les transports, la construction navale, l’énergie, la bio-prospection, et l’exploitation minière sous-marine et les activités connexes.
El Hadj Diakhaté
S’adressant aux participants, lors du lancement, le Secrétaire exécutif de la CEA, M. Carlos Lopes, a mis l’accent sur l’importance de l’économie bleue en Afrique. A ses yeux, 38 des 54 États africains sont des États côtiers alors que plus de 90% des importations et des exportations de l’Afrique se font par voie marine.
« Les poissons marins et d’eau douce contribuent essentiellement à la sécurité alimentaire et nutritionnelle de plus de 200 millions d’Africains », a fait remarquer M. Lopes. Il ajoute que l’exploitation de plus en plus intense des océans et des mers dans plusieurs secteurs économiques, ajoutée aux impacts du changement climatique, a contribué à la pression déjà existante du milieu marin.
L’Afrique regorge de vastes lacs et d’une base de ressources océaniques. Si toutefois ils sont pleinement exploités, ces lacs et ces ressources peuvent constituer une source importante de richesse et de développement durable pour le continent, préconise le manuel.
« L’économie bleue, bien que complémentaire de l’approche del’économie verte dans sa quête de durabilité, est cependant un concept d’une importance de développement pour l'Afrique beaucoup
plus large », souligne la CEA. Elle couvre des espaces aquatiques et marins, y compris les océans, les mers, les côtes, les lacs, les rivières et les eaux souterraines; sans oublier qu’elle comprend de nombreux secteurs productifs, tels que la pêche, l’aquaculture, le tourisme, les transports, la construction navale, l’énergie, la bio-prospection, et l’exploitation minière sous-marine et les activités connexes.
El Hadj Diakhaté