Développer la coopération positive entre pays africain. C'est ce à quoi le président égyptien invite pour le développement des échanges et la réussite de la Zone de libre-échange continentale africaine (Zlecaf). Une option qui, selon lui, va faciliter l'exploitation des ressources dont dispose le continent pour parvenir au développement économique et social.
La réception de la foire commerciale intra-africaine qui se tient du 9 au 15 novembre 2023 au Caire, démontre à suffisance l'engagement des autorités égyptiennes à jouer leur partition pour le développement du commerce entre les pays africains via la connexion des corridors.
Le Ministre du Commerce et de l'Industrie d'Égypte, M. Ahmed Samir estime que cet événement, qui se déroule avec la participation de 75 pays, plus de 1 600 entreprises participantes et exposantes et des milliers de visiteurs, représente une opportunité importante pour les pays du continent de renforcer le commerce intra-régional.
Mais aussi de soutenir les opportunités commerciales avec des partenaires extérieurs au continent pour réaliser les aspirations de nos pays à un moment où l'économie mondiale souffre de pressions et de défis majeurs.
Pour lui, au moment où les pays du continent se remettaient des effets de la pandémie mondiale, une crise a éclaté entre la Russie et l'Ukraine, et les crises qui ont suivi ont affecté négativement l'Égypte et divers pays du continent, en plus des développements politiques régionaux actuels dont les effets évidents ont eu des répercussions négatives sur les économies de la région du Moyen-Orient.
Ce qui, à son avis, est nécessaire pour renforcer la coopération entre les partenaires et trouver des solutions non conventionnelles pour dynamiser nos économies locales et surmonter les défis existants grâce aux partenariats régionaux que permettent de tels événements.
Il assure que le ministère du Commerce et de l'Industrie, sous la direction des dirigeants politiques égyptiennes, ne ménage aucun effort pour soutenir les relations économiques entre l'Égypte et les pays du continent, tout en soutenant les initiatives d'économie verte, la transformation numérique et la Quatrième révolution industrielle et soutient les femmes dans les domaines économiques dans le cadre de la Vision égyptienne 2030.
Au niveau des relations commerciales, poursuit-il, l'État égyptien est intéressé à envoyer des missions commerciales. Ce qui témoigne d'un soutien aux relations économiques entre l'Égypte et les pays africains.
Dans la foulée, il s'est désolé du niveau de faiblesse du commerce intra-africain par rapport au volume total des échanges de ces pays avec des partenaires commerciaux extérieurs au continent, d'où l'importance de la Zone de libre-échange continentale africaine « ZLECAf », qui vise à créer une zone de libre-échange africaine unique.
D'après lui, il convient de développer le marché des biens et des services et faciliter la libre circulation des personnes et des capitaux, ainsi que des investissements pour approfondir l'intégration économique, promouvoir et réaliser un développement social et économique durable et global, l'égalité des sexes, l'industrialisation, le développement agricole et la sécurité alimentaire.
Des protocoles d'une valeur de 10 milliards de dollars signés entre l'Égypte et autres pays africains
Le Ministre du Commerce et de l'Industrie assure que l'accueil par l'Égypte de cette exposition dans sa troisième édition s'inscrit dans le cadre de l'intérêt des dirigeants politiques pour les relations africaines.
Car, a-t-il poursuivi, l'exposition comprenait un certain nombre de séminaires de dialogue dans de nombreux domaines économiques et sociaux et, au cours des trois premiers jours de l'exposition, de nombreux protocoles et des accords ont été signés, pour un montant de 10 milliards de dollars, ce qui reflète la profondeur de la coopération commerciale entre les pays du continent.
D'après lui, l'Afrique est la plus grande zone de libre-échange au monde, car elle comprend 55 États membres de l'Union africaine et 8 groupes économiques régionaux. Elle vise à créer un marché continental unique avec une population d'environ 1,3 milliard d'habitants avec un produit intérieur brut de 3,4 billions de dollars.
Pour Ahmed Samir, la région contribuera également au renforcement des chaînes de valeur. Avant d'ajouter que la régionalisation de notre continent, l'augmentation des investissements, la création d'opportunités d'emploi et la promotion de la fabrication conjointe, augmentant ainsi la compétitivité de l'Afrique à moyen et long terme.
Il estime que la région devrait contribuer à accroître le volume du commerce intra-africain dans des proportions croissantes tant en biens que services et projets d'investissement pour atteindre le « Made in Africa » et conquérir les marchés mondiaux.
https://fr.allafrica.com
La réception de la foire commerciale intra-africaine qui se tient du 9 au 15 novembre 2023 au Caire, démontre à suffisance l'engagement des autorités égyptiennes à jouer leur partition pour le développement du commerce entre les pays africains via la connexion des corridors.
Le Ministre du Commerce et de l'Industrie d'Égypte, M. Ahmed Samir estime que cet événement, qui se déroule avec la participation de 75 pays, plus de 1 600 entreprises participantes et exposantes et des milliers de visiteurs, représente une opportunité importante pour les pays du continent de renforcer le commerce intra-régional.
Mais aussi de soutenir les opportunités commerciales avec des partenaires extérieurs au continent pour réaliser les aspirations de nos pays à un moment où l'économie mondiale souffre de pressions et de défis majeurs.
Pour lui, au moment où les pays du continent se remettaient des effets de la pandémie mondiale, une crise a éclaté entre la Russie et l'Ukraine, et les crises qui ont suivi ont affecté négativement l'Égypte et divers pays du continent, en plus des développements politiques régionaux actuels dont les effets évidents ont eu des répercussions négatives sur les économies de la région du Moyen-Orient.
Ce qui, à son avis, est nécessaire pour renforcer la coopération entre les partenaires et trouver des solutions non conventionnelles pour dynamiser nos économies locales et surmonter les défis existants grâce aux partenariats régionaux que permettent de tels événements.
Il assure que le ministère du Commerce et de l'Industrie, sous la direction des dirigeants politiques égyptiennes, ne ménage aucun effort pour soutenir les relations économiques entre l'Égypte et les pays du continent, tout en soutenant les initiatives d'économie verte, la transformation numérique et la Quatrième révolution industrielle et soutient les femmes dans les domaines économiques dans le cadre de la Vision égyptienne 2030.
Au niveau des relations commerciales, poursuit-il, l'État égyptien est intéressé à envoyer des missions commerciales. Ce qui témoigne d'un soutien aux relations économiques entre l'Égypte et les pays africains.
Dans la foulée, il s'est désolé du niveau de faiblesse du commerce intra-africain par rapport au volume total des échanges de ces pays avec des partenaires commerciaux extérieurs au continent, d'où l'importance de la Zone de libre-échange continentale africaine « ZLECAf », qui vise à créer une zone de libre-échange africaine unique.
D'après lui, il convient de développer le marché des biens et des services et faciliter la libre circulation des personnes et des capitaux, ainsi que des investissements pour approfondir l'intégration économique, promouvoir et réaliser un développement social et économique durable et global, l'égalité des sexes, l'industrialisation, le développement agricole et la sécurité alimentaire.
Des protocoles d'une valeur de 10 milliards de dollars signés entre l'Égypte et autres pays africains
Le Ministre du Commerce et de l'Industrie assure que l'accueil par l'Égypte de cette exposition dans sa troisième édition s'inscrit dans le cadre de l'intérêt des dirigeants politiques pour les relations africaines.
Car, a-t-il poursuivi, l'exposition comprenait un certain nombre de séminaires de dialogue dans de nombreux domaines économiques et sociaux et, au cours des trois premiers jours de l'exposition, de nombreux protocoles et des accords ont été signés, pour un montant de 10 milliards de dollars, ce qui reflète la profondeur de la coopération commerciale entre les pays du continent.
D'après lui, l'Afrique est la plus grande zone de libre-échange au monde, car elle comprend 55 États membres de l'Union africaine et 8 groupes économiques régionaux. Elle vise à créer un marché continental unique avec une population d'environ 1,3 milliard d'habitants avec un produit intérieur brut de 3,4 billions de dollars.
Pour Ahmed Samir, la région contribuera également au renforcement des chaînes de valeur. Avant d'ajouter que la régionalisation de notre continent, l'augmentation des investissements, la création d'opportunités d'emploi et la promotion de la fabrication conjointe, augmentant ainsi la compétitivité de l'Afrique à moyen et long terme.
Il estime que la région devrait contribuer à accroître le volume du commerce intra-africain dans des proportions croissantes tant en biens que services et projets d'investissement pour atteindre le « Made in Africa » et conquérir les marchés mondiaux.
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