
Ils sont passés de 63% du total des apports extérieur en 2006 à plus de 70% en 2014. L’Afrique a su attirer un volume croissant d’investissements étrangers, notamment infra-africains et en provenance d’autres économies émergentes. Les rédacteurs de ce rapport estiment qu`en réponse à une urbanisation rapide et à l’essor des classes moyennes, les Investissements Direct Etrangers se diversifient au profit des biens de consommation et des services et ne sont plus uniquement dirigés sur les ressources minérales.
Les investissements de portefeuille en faveur du continent ont eux aussi progressé. Depuis 2011, plus d’une dizaine de pays-dont le Kenya, le Nigeria et l’Ouganda ont émis pour la première fois des obligations souveraines sur les marchés internationaux dans l’objectif de financer de grands projets d’infrastructures, souligne le rapport.
Les transferts des migrants continuent d’augmenter et représentent la première source d’apports financiers internationaux aux pays africains. Alors que les flux privés de capitaux sont volatils, ces transferts constituent une source plus stable de devises et sont donc mieux adaptés à des visés de long terme, comme le développement du secteur financier.
Kine SEYE
Les investissements de portefeuille en faveur du continent ont eux aussi progressé. Depuis 2011, plus d’une dizaine de pays-dont le Kenya, le Nigeria et l’Ouganda ont émis pour la première fois des obligations souveraines sur les marchés internationaux dans l’objectif de financer de grands projets d’infrastructures, souligne le rapport.
Les transferts des migrants continuent d’augmenter et représentent la première source d’apports financiers internationaux aux pays africains. Alors que les flux privés de capitaux sont volatils, ces transferts constituent une source plus stable de devises et sont donc mieux adaptés à des visés de long terme, comme le développement du secteur financier.
Kine SEYE