Selon le rapport, l'augmentation en 2024 peut être attribuée principalement à une légère expansion du solde primaire résultant des mesures visant à atténuer l'impact de la hausse des prix alimentaires, à l'augmentation des sorties nettes de capitaux et à la faiblesse des recettes d'exportation, principalement dans les économies à forte intensité de ressources, en partie imputable à la faiblesse de la demande chinoise.
Il est relevé également que les déficits budgétaires en Afrique devraient se creuser en 2024 uniquement en Afrique du Nord, passant de 4,1 % du Pib à 7,6 %, en raison des déficits des recettes fiscales et de l'augmentation des paiements de la dette.
Les autres sous-régions verront leurs déficits budgétaires moyens se réduire. L'Afrique australe devrait atteindre 4,6 % du Pib en raison de l'accélération des coûts du service de la dette, qui grignote l'enveloppe budgétaire.
Le document confie dans la foulée que l’Afrique de l’Ouest a renforcé sa situation budgétaire en réduisant son déficit budgétaire de 4,5 % en 2023 à 4,4 % en 2024, avec des améliorations en Côte d’Ivoire, au Ghana, au Nigéria et en Sierra Leone, contribuant à réduire le déficit de la sous-région.
L’Afrique centrale affichera les déficits moyens les plus faibles en 2024 et 2025, suivie de l’Afrique de l’Est.
La Performance dans l’Afrique centrale est principalement soutenue par une activité économique renouvelée, tirée par des prix favorables des matières premières, non seulement du pétrole brut, mais aussi des minéraux et d’autres matières premières.
Bassirou MBAYE
Il est relevé également que les déficits budgétaires en Afrique devraient se creuser en 2024 uniquement en Afrique du Nord, passant de 4,1 % du Pib à 7,6 %, en raison des déficits des recettes fiscales et de l'augmentation des paiements de la dette.
Les autres sous-régions verront leurs déficits budgétaires moyens se réduire. L'Afrique australe devrait atteindre 4,6 % du Pib en raison de l'accélération des coûts du service de la dette, qui grignote l'enveloppe budgétaire.
Le document confie dans la foulée que l’Afrique de l’Ouest a renforcé sa situation budgétaire en réduisant son déficit budgétaire de 4,5 % en 2023 à 4,4 % en 2024, avec des améliorations en Côte d’Ivoire, au Ghana, au Nigéria et en Sierra Leone, contribuant à réduire le déficit de la sous-région.
L’Afrique centrale affichera les déficits moyens les plus faibles en 2024 et 2025, suivie de l’Afrique de l’Est.
La Performance dans l’Afrique centrale est principalement soutenue par une activité économique renouvelée, tirée par des prix favorables des matières premières, non seulement du pétrole brut, mais aussi des minéraux et d’autres matières premières.
Bassirou MBAYE