Travaillant, pour le compte de la FAO, sur la mise en œuvre des ‘’Directives volontaires pour une pêche artisanale durable’’, Mme Westlund a expliqué que ce projet, comprend ‘’un élément assez important ’’ que constitue la chaine de valeur et le rôle des femmes dans le secteur de la pêche.
S’exprimant à Banjul, au terme de la réunion de deux jours (22-23 novembre) du comité de pilotage de la Coalition pour des accords de pêche équitables (CAPE), qui s’est tenue dans la capitale gambienne, juste après la célébration de la journée mondiale de la pêche, elle a fait savoir qu’un projet similaire est mis en œuvre en Amérique Latine, en vue de faciliter les échanges d’expériences entres acteurs de régions différentes.
‘’On ne reconnait le rôle important du secteur de la pêche artisanale ainsi que sa contribution pour la sécurité alimentaire et nutritionnelle et ka réduction de la pauvreté. Mais, on pourrait augmenter cette contribution pour assurer les droits des pêcheurs et autres travailleurs de la pêche artisanale’’, a-t-elle souligné.
‘’Un des objectifs de ce projet, qui démarre incessamment, va durer entre quatre et cinq ans, c’est la mise en œuvre des Directives volontaires visant à assurer la durabilité de la pêche artisanale dans un contexte de sécurité alimentaire et de l’éradication de la pauvreté, mais aussi et surtout de travailler beaucoup avec les femmes, pour promouvoir l’égalité entre les hommes et les femmes’’, a indiqué Léna Westlund.
Selon elle, ces Directives constituent un instrument international qui a été négocié avec tous les Etats membres de la FAO depuis 2014 et développé avec une forte participation des acteurs de la pêche artisanale.
‘’Il y a certains pays qui ont démarré le processus de mise en œuvre de ces Directives, mais on ne peut pas dire qu’il existe un pays qui a complètement atteint cet objectif. En Afrique, le Sénégal, la Côte d’Ivoire, la Tanzanie et la Guinée qui sont en avance avec la mise en place des groupes de travail, regroupant les acteurs et les gouvernements, pour élaborer leurs plans d’actions nationaux, en vue de la mise en œuvre effective de cet instrument’’, a précisé Mme Westlund.
Dans un document remis aux participants des différentes activités de l’édition de la journée mondiale de la pêche, le directeur général de la FAO, José Graziano da Silva réaffirme son intention d’aider à la mise en œuvre de ces Directives.
Il attend avec intérêt de pouvoir continuer sa collaboration avec toutes les parties prenantes, notamment les gouvernements, les pêcheurs artisans, les travailleurs de la pêche et leurs
organisations, la société civile, les chercheurs et universitaires le secteur privé les donateurs, en vue d’assurer la durabilité de la pêche artisanale dans le contexte de la sécurité alimentaire et de l’élimination de la pauvreté.
Serigne Makhtar Fall
S’exprimant à Banjul, au terme de la réunion de deux jours (22-23 novembre) du comité de pilotage de la Coalition pour des accords de pêche équitables (CAPE), qui s’est tenue dans la capitale gambienne, juste après la célébration de la journée mondiale de la pêche, elle a fait savoir qu’un projet similaire est mis en œuvre en Amérique Latine, en vue de faciliter les échanges d’expériences entres acteurs de régions différentes.
‘’On ne reconnait le rôle important du secteur de la pêche artisanale ainsi que sa contribution pour la sécurité alimentaire et nutritionnelle et ka réduction de la pauvreté. Mais, on pourrait augmenter cette contribution pour assurer les droits des pêcheurs et autres travailleurs de la pêche artisanale’’, a-t-elle souligné.
‘’Un des objectifs de ce projet, qui démarre incessamment, va durer entre quatre et cinq ans, c’est la mise en œuvre des Directives volontaires visant à assurer la durabilité de la pêche artisanale dans un contexte de sécurité alimentaire et de l’éradication de la pauvreté, mais aussi et surtout de travailler beaucoup avec les femmes, pour promouvoir l’égalité entre les hommes et les femmes’’, a indiqué Léna Westlund.
Selon elle, ces Directives constituent un instrument international qui a été négocié avec tous les Etats membres de la FAO depuis 2014 et développé avec une forte participation des acteurs de la pêche artisanale.
‘’Il y a certains pays qui ont démarré le processus de mise en œuvre de ces Directives, mais on ne peut pas dire qu’il existe un pays qui a complètement atteint cet objectif. En Afrique, le Sénégal, la Côte d’Ivoire, la Tanzanie et la Guinée qui sont en avance avec la mise en place des groupes de travail, regroupant les acteurs et les gouvernements, pour élaborer leurs plans d’actions nationaux, en vue de la mise en œuvre effective de cet instrument’’, a précisé Mme Westlund.
Dans un document remis aux participants des différentes activités de l’édition de la journée mondiale de la pêche, le directeur général de la FAO, José Graziano da Silva réaffirme son intention d’aider à la mise en œuvre de ces Directives.
Il attend avec intérêt de pouvoir continuer sa collaboration avec toutes les parties prenantes, notamment les gouvernements, les pêcheurs artisans, les travailleurs de la pêche et leurs
organisations, la société civile, les chercheurs et universitaires le secteur privé les donateurs, en vue d’assurer la durabilité de la pêche artisanale dans le contexte de la sécurité alimentaire et de l’élimination de la pauvreté.
Serigne Makhtar Fall