Elle souligne que c’est à condition que la confiance des investisseurs s'améliore dans certaines grandes économies, que les goulets d'étranglement énergétiques s'atténuent, qu'une intensification de la production pétrolière contribue à la reprise dans les pays exportateurs de pétrole et que la croissance demeure vigoureuse dans les pays exportateurs de produits agricoles.
« Les prévisions sont plus faibles que prévu, en raison du fléchissement de la demande des principaux partenaires commerciaux, de la baisse des prix des produits de base et de l'évolution défavorable de la situation intérieure dans plusieurs pays.
En Afrique du Sud, la croissance devrait s'accélérer pour atteindre 0,9 %, à condition que le programme de réforme de la nouvelle administration s'intensifie, que les incertitudes politiques diminuent et que les investissements reprennent progressivement.
Au Nigéria, la croissance devrait ressortir à 2,1 % car le cadre macroéconomique n'est pas propice à la confiance.
La croissance en Angola devrait s'accélérer pour atteindre 1,5 %, sous réserve que les réformes en cours assurent une plus grande stabilité macroéconomique, améliorent l'environnement des affaires et soutiennent l'investissement privé.
Dans l'Union économique et monétaire ouest-africaine, la croissance devrait se maintenir à 6,4 %. Au Kenya, elle devrait s'établir à 6 % », précise l’institution.
Adou FAYE
« Les prévisions sont plus faibles que prévu, en raison du fléchissement de la demande des principaux partenaires commerciaux, de la baisse des prix des produits de base et de l'évolution défavorable de la situation intérieure dans plusieurs pays.
En Afrique du Sud, la croissance devrait s'accélérer pour atteindre 0,9 %, à condition que le programme de réforme de la nouvelle administration s'intensifie, que les incertitudes politiques diminuent et que les investissements reprennent progressivement.
Au Nigéria, la croissance devrait ressortir à 2,1 % car le cadre macroéconomique n'est pas propice à la confiance.
La croissance en Angola devrait s'accélérer pour atteindre 1,5 %, sous réserve que les réformes en cours assurent une plus grande stabilité macroéconomique, améliorent l'environnement des affaires et soutiennent l'investissement privé.
Dans l'Union économique et monétaire ouest-africaine, la croissance devrait se maintenir à 6,4 %. Au Kenya, elle devrait s'établir à 6 % », précise l’institution.
Adou FAYE