Il s’exprimait lors de l’ouverture de l’atelier national sur le thème « Sols et changements climatiques : stratégies d’amélioration de la productivité agricole » organisé par l’Institut national de pédologie (INP), le NEPAD et la FAO.
Selon lui, point n’est besoin d’insister outre mesure sur l’importance du sol qui est le substrat et l’élément nourricier de toutes les espèces végétales qui sont au début de la chaine alimentaire. « C’est la raison pour laquelle, sa dégradation constitue une menace pour toute vie sur terre. Pourtant, au vu des pratiques néfastes sur les sols et les ressources naturelles, l’homme semble ne pas prendre conscience de son comportement suicidaire », a laissé entendre M. Lebtahi.
Selon lui, à travers plusieurs projets appuyés par la FAO, axés sur la gestion durable des sols et la conservation de la biodiversité, il a été démontré qu’il est possible de produire plus et mieux tout en diminuant la consommation des produits chimiques et d’abandonner certaines pratiques agricoles.
« La FAO est soucieuse du bon usage de la terre pour lui permettre de remplir toutes ses fonctions vitales et garantir les intérêts de tous acteur en particulier des agriculteurs, des éleveurs et des pêcheurs et les préserver d danger que constitue le changement climatique », a affirmé M. Lebtahi. Il a donné à titre d’exemple la proposition de son organisation aux pays membres des directives volontaires qui sont des mesures non contraignantes dont la particularité est la prise en compte des réalités socioéconomiques et culturelles des peuples dans les réformes foncières.
El Hadj Diakhaté
Selon lui, point n’est besoin d’insister outre mesure sur l’importance du sol qui est le substrat et l’élément nourricier de toutes les espèces végétales qui sont au début de la chaine alimentaire. « C’est la raison pour laquelle, sa dégradation constitue une menace pour toute vie sur terre. Pourtant, au vu des pratiques néfastes sur les sols et les ressources naturelles, l’homme semble ne pas prendre conscience de son comportement suicidaire », a laissé entendre M. Lebtahi.
Selon lui, à travers plusieurs projets appuyés par la FAO, axés sur la gestion durable des sols et la conservation de la biodiversité, il a été démontré qu’il est possible de produire plus et mieux tout en diminuant la consommation des produits chimiques et d’abandonner certaines pratiques agricoles.
« La FAO est soucieuse du bon usage de la terre pour lui permettre de remplir toutes ses fonctions vitales et garantir les intérêts de tous acteur en particulier des agriculteurs, des éleveurs et des pêcheurs et les préserver d danger que constitue le changement climatique », a affirmé M. Lebtahi. Il a donné à titre d’exemple la proposition de son organisation aux pays membres des directives volontaires qui sont des mesures non contraignantes dont la particularité est la prise en compte des réalités socioéconomiques et culturelles des peuples dans les réformes foncières.
El Hadj Diakhaté