Selon le ministre du Commerce, Alioune Sarr, en dépit des nombreux efforts consentis par le Gouvernement pour améliorer le climat des affaires, la question de la maitrise de la croissance et du développement des entreprises ne cesse de se poser avec acuité, particulièrement dans un contexte d’ouverture de nos frontières de plus en plus marquée. Et Alioune Sarr de rappeler que lors du dernier Conseil des Ministres des Pays ACP/UE, le Chef de l’Etat rappelait l’entrée en vigueur prochaine des Accords de Partenariat Economique entre l’UE et la Région Ouest Africaine, qui requiert la restructuration et la mise à Niveau de notre tissu industriel pour tirer profit des avantages qu’offre cet accord de libre-échange. Poursuivant, il ajoute que , sur le plan multilatéral, les résultats de la dernière Conférence ministérielle de l’OMC, tenue à Nairobi en décembre 2015, si modestes soient-ils, ont eu le mérite d’apporter une lueur d’espoir pour les pays les plus pauvres de la planète pour ce qui est de la participation de leur secteur privé, notamment leurs PME dans le commerce mondial.
En effet, note le ministre du commerce, les avancées sur la concurrence à l’exportation, dont l’une des mesures phares engage les pays développés à ne pas subventionner leurs exportations vers les PMA, les nouvelles règles concernant les entreprises commerciales d’État exportatrices, la décision sur l’accès au marché préférentiel du coton pour les PMA, les frémissements notés pour ce qui concerne les négociations sur les règles, sont autant de concessions concrètes qui pourraient contribuer à créer des marchés plus équitables et durables pour les produits agricoles en faveur de nos pays.
En effet, note le ministre du commerce les avancées sur la concurrence à l’exportation, dont l’une des mesures phares engage les pays développés à ne pas subventionner leurs exportations vers les PMA, les nouvelles règles concernant les entreprises commerciales d’État exportatrices, la décision sur l’accès au marché préférentiel du coton pour les PMA, les frémissements notés pour ce qui concerne les négociations sur les règles, sont autant de concessions concrètes qui pourraient contribuer à créer des marchés plus équitables et durables pour les produits agricoles en faveur de nos pays.
Dans un autre registre, selon toujours Alioune Sarr, les négociations sur la zone de libre-échange continentale entamées au début de cette année vont à coup sûr et à terme, constituer un terreau fertile à la croissance et au développement de nos 85 000 PME locales sur un marché qui comptera en 2050 plus de 2,5 milliards d’africains.
Lors de la restitution Alioune Sarr a fait savoir qu`articulée au Plan Sénégal Emergent et en parfaite cohérence avec les nouvelles orientations agricoles déclinées à travers le PRACAS et le Programme d’Autosuffisance en riz en 2017, l’Etude se veut comme une contribution à la modernisation agricole à travers une mise à niveau stratégique et opérationnelle du secteur agricole. A ses yeux, c’est tout le sens qu’il faudra donner à cet atelier de restitution.
Dans la même foulée, le ministre du Commerce a salué la pertinence des recommandations notamment opérationnelles, parmi lesquelles l'appui à la structuration des PME agricoles sur les chaines de valeur pour une meilleure cohérence avec les institutions financières dans le but de les rendre plus attractives; la mise en place d'un programme de niveau des infrastructures rurales et agricoles et la mise à niveau des PME en référence aux pratiques optimales et outils modernes de gestion des chaines de valeur agricole etc.
Ismaila BA
En effet, note le ministre du commerce, les avancées sur la concurrence à l’exportation, dont l’une des mesures phares engage les pays développés à ne pas subventionner leurs exportations vers les PMA, les nouvelles règles concernant les entreprises commerciales d’État exportatrices, la décision sur l’accès au marché préférentiel du coton pour les PMA, les frémissements notés pour ce qui concerne les négociations sur les règles, sont autant de concessions concrètes qui pourraient contribuer à créer des marchés plus équitables et durables pour les produits agricoles en faveur de nos pays.
En effet, note le ministre du commerce les avancées sur la concurrence à l’exportation, dont l’une des mesures phares engage les pays développés à ne pas subventionner leurs exportations vers les PMA, les nouvelles règles concernant les entreprises commerciales d’État exportatrices, la décision sur l’accès au marché préférentiel du coton pour les PMA, les frémissements notés pour ce qui concerne les négociations sur les règles, sont autant de concessions concrètes qui pourraient contribuer à créer des marchés plus équitables et durables pour les produits agricoles en faveur de nos pays.
Dans un autre registre, selon toujours Alioune Sarr, les négociations sur la zone de libre-échange continentale entamées au début de cette année vont à coup sûr et à terme, constituer un terreau fertile à la croissance et au développement de nos 85 000 PME locales sur un marché qui comptera en 2050 plus de 2,5 milliards d’africains.
Lors de la restitution Alioune Sarr a fait savoir qu`articulée au Plan Sénégal Emergent et en parfaite cohérence avec les nouvelles orientations agricoles déclinées à travers le PRACAS et le Programme d’Autosuffisance en riz en 2017, l’Etude se veut comme une contribution à la modernisation agricole à travers une mise à niveau stratégique et opérationnelle du secteur agricole. A ses yeux, c’est tout le sens qu’il faudra donner à cet atelier de restitution.
Dans la même foulée, le ministre du Commerce a salué la pertinence des recommandations notamment opérationnelles, parmi lesquelles l'appui à la structuration des PME agricoles sur les chaines de valeur pour une meilleure cohérence avec les institutions financières dans le but de les rendre plus attractives; la mise en place d'un programme de niveau des infrastructures rurales et agricoles et la mise à niveau des PME en référence aux pratiques optimales et outils modernes de gestion des chaines de valeur agricole etc.
Ismaila BA