chroniques
Pour la transformation de l’agriculture, rien n’est de trop. C’est pourquoi la Conférence de Haut niveau sur la Transformation de l’agriculture en Afrique qui a eu lieu à Dakar milite pour que les Organisations de producteurs agricoles (OP) et les Organisations de la société civile (OSC) partagent leurs expériences et leurs solutions pouvant permettre d’améliorer la situation des producteurs agricoles sur le continent.
A cet effet, les participants ont salué l’organisation de cette session et ont tenu à rappeler le potentiel considérable de l’Afrique en termes d’agriculture, d’élevage, de forêt et de pêche. De ce fait, il a été souligné que tous les acteurs de ces différents domaines sont des partie-prenantes importantes pour la réussite de l’agenda de transformation de l’agriculture en Afrique. Ainsi, tout au long des discussions, il a été rappelé que les Organisations paysannes évoluent dans un environnement multi-acteurs dans lequel ils sont au centre des échanges entre les fournisseurs d’intrants et les marchés. A ce titre, s’il y a une volonté d’intensifier le travail des Organisations paysannes, cela ne peut se faire sans améliorer l’ensemble de la chaine de valeur de façon significative.
En ce qui concerne le marché, il est important de perfectionner les liens qui s’y font en se focalisant particulièrement sur la création d’un cadre qui permet aux parties prenantes de travailler ensemble, notamment à travers les partenariats public-privé. C’est également dans le but de pouvoir faciliter l’accès au marché à leurs membres que les Organisations paysannes ont souhaité bénéficier d’un accompagnement plus accru pour soutenir leur mutation interne.
En effet, ces dernières voudraient obtenir des services professionnels ciblés afin de transformer leurs stratégies en plan d’affaires, accroissant ainsi leurs opportunités de financement par les acteurs du secteur bancaire.
Pathé TOURE
A cet effet, les participants ont salué l’organisation de cette session et ont tenu à rappeler le potentiel considérable de l’Afrique en termes d’agriculture, d’élevage, de forêt et de pêche. De ce fait, il a été souligné que tous les acteurs de ces différents domaines sont des partie-prenantes importantes pour la réussite de l’agenda de transformation de l’agriculture en Afrique. Ainsi, tout au long des discussions, il a été rappelé que les Organisations paysannes évoluent dans un environnement multi-acteurs dans lequel ils sont au centre des échanges entre les fournisseurs d’intrants et les marchés. A ce titre, s’il y a une volonté d’intensifier le travail des Organisations paysannes, cela ne peut se faire sans améliorer l’ensemble de la chaine de valeur de façon significative.
En ce qui concerne le marché, il est important de perfectionner les liens qui s’y font en se focalisant particulièrement sur la création d’un cadre qui permet aux parties prenantes de travailler ensemble, notamment à travers les partenariats public-privé. C’est également dans le but de pouvoir faciliter l’accès au marché à leurs membres que les Organisations paysannes ont souhaité bénéficier d’un accompagnement plus accru pour soutenir leur mutation interne.
En effet, ces dernières voudraient obtenir des services professionnels ciblés afin de transformer leurs stratégies en plan d’affaires, accroissant ainsi leurs opportunités de financement par les acteurs du secteur bancaire.
Pathé TOURE
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