Selon Bajabulile Swazi Tshabalala, vice-présidente principale de la Bad, en 2022, l’institution a investi 8 milliards de dollars (4 888 milliards de FCfa) dans des secteurs comme l’énergie, l’agriculture, l’eau et l’assainissement, l’industrie ou encore l’intégration africaine. Elle a précisé que 45% de ces investissements vont dans des projets liés au changement climatique. La vice-présidente de souligner que ces investissements ont inclus la facilité de production alimentaire d’urgence en Afrique pour un montant de 1,5 milliard de dollars en réponse à la crise alimentaire.
Bajabulile Swazi Tshabalala a fait savoir que l’appui de la Bad au secteur agricole a bénéficié à 2,9 millions de personnes en 2022. «Les investissements de la Bad dans le secteur de l’énergie ont également permis à 1,3 million de personnes supplémentaires d’accéder à l’électricité et 12,3 millions de personnes ont pu avoir accès à des services d’eau et assainissement améliorés. Par ailleurs, plus de 400 000 micro, petites et moyennes entreprises ont pu accéder aux services financiers grâce à l’appui de la banque, précise Mme Tshabalala. 2022 fut une année phare ; la banque y a réalisé son plus grand investissement pour un montant de 1,5 milliard de dollars », a détaillé la vice-présidente principale.
Concernant la lutte contre le changement climatique, elle a indiqué que la Bad a dépassé ses objectifs en allouant 45% de ses investissements annuels à la finance climatique, dont 68% pour le volet adaptation.
Prenant la parole, Kevin Kariuki, vice-président chargé de l’électricité, de l’énergie, du climat et de la croissance verte a déclaré que l’Afrique veut mobiliser 25 milliards de dollars en faveur du climat d’ici 2025, voire plus, en proposant un programme africain au Centre mondial pour l’adaptation au changement climatique.
« Au total, nous espérons arriver à mobiliser jusqu’à 37,5 milliards de dollars de finance climatique d’ici 2025 », a dit M. Kariuki. Selon lui, l’ambition est de capter jusqu’à 10% de la finance climatique d’ici 2030, contre 3% actuellement.
Intervenant lors de cette séance, Marie-Laure Akin-Olugbade, vice-présidente de la Bad chargée du développement régional, de l’intégration et de la prestation de services a expliqué que d’une part nous faisons face aux crises et d’autre part nous maintenons le rythme de mise en œuvre des projets porteurs pour nos pays membres.
Ismaïla Ba, Sharm El Cheikh, Egypte
Bajabulile Swazi Tshabalala a fait savoir que l’appui de la Bad au secteur agricole a bénéficié à 2,9 millions de personnes en 2022. «Les investissements de la Bad dans le secteur de l’énergie ont également permis à 1,3 million de personnes supplémentaires d’accéder à l’électricité et 12,3 millions de personnes ont pu avoir accès à des services d’eau et assainissement améliorés. Par ailleurs, plus de 400 000 micro, petites et moyennes entreprises ont pu accéder aux services financiers grâce à l’appui de la banque, précise Mme Tshabalala. 2022 fut une année phare ; la banque y a réalisé son plus grand investissement pour un montant de 1,5 milliard de dollars », a détaillé la vice-présidente principale.
Concernant la lutte contre le changement climatique, elle a indiqué que la Bad a dépassé ses objectifs en allouant 45% de ses investissements annuels à la finance climatique, dont 68% pour le volet adaptation.
Prenant la parole, Kevin Kariuki, vice-président chargé de l’électricité, de l’énergie, du climat et de la croissance verte a déclaré que l’Afrique veut mobiliser 25 milliards de dollars en faveur du climat d’ici 2025, voire plus, en proposant un programme africain au Centre mondial pour l’adaptation au changement climatique.
« Au total, nous espérons arriver à mobiliser jusqu’à 37,5 milliards de dollars de finance climatique d’ici 2025 », a dit M. Kariuki. Selon lui, l’ambition est de capter jusqu’à 10% de la finance climatique d’ici 2030, contre 3% actuellement.
Intervenant lors de cette séance, Marie-Laure Akin-Olugbade, vice-présidente de la Bad chargée du développement régional, de l’intégration et de la prestation de services a expliqué que d’une part nous faisons face aux crises et d’autre part nous maintenons le rythme de mise en œuvre des projets porteurs pour nos pays membres.
Ismaïla Ba, Sharm El Cheikh, Egypte