Agriculture ouest-africaine: il faudra s’intégrer ou mourir

Samedi 4 Juillet 2015

Selon une étude, l’agriculture en Afrique de l’ouest ne pourra répondre aux besoins des populations de la région que par une meilleure intégration des Etats. Le travail commandité par la Banque africaine de développement (BAD), la FAO et la CEDEAO, relève les défis qui se posent au secteur agricole de la région.


Ainsi, souligne le rapport, l’intégration serait la clé à la réalisation d’économies d’échelle en ce qui concerne l’accès aux engrais et aux semences ainsi que dans l’amélioration des technologies agricoles utilisées dans la région. L’ouest africain, qui est la région du continent connaissant actuellement la plus forte urbanisation, dépend fortement des importations pour assurer ses besoins alimentaires, preuve des dysfonctionnements enregistrés par son secteur agricole.
Et pourtant, souligne le document, elle bénéficie d’opportunités de croissance agricole sans précédent. Alors que sa population passera de 300 millions  à 490 millions d’individus d’ici 2030, l’agriculture dans cette partie du monde devra surmonter des obstacles comme les barrages routiers, les embargos commerciaux ou encore la disparité des normes nationales en matière de semences et d’engrais, pour réaliser son destin.
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