‘’Ces journées de l’industrie dont nous avons retenu la date entre le 28 et le 2 octobre vont nous permettre de présenter les difficultés de chaque filière, comme le textile, la pêche ou encore l’agroalimentaire et déterminer les recommandations et les moyens à mobiliser pour trouver ensemble des solutions de sortie de crise’’, a-t-il dit M. Sarr s’exprimait lors d’une visite au siège du Mouvement des entreprises du Sénégal (MEDS), en présence de son président Mbagnick Diop et des représentants de certaines organisations industrielles. Il s’agira, selon lui, d’élaborer un agenda durant ces journées l’Etat où sera inscrit les solutions proposées par les Petites et moyennes entreprises et Petites et moyennes industries (PME-PMI), ‘’tout en leur fixant des objectifs en terme de qualité et de positionnement sur les secteurs porteurs’’.
‘’Car il faut prendre les secteurs porteurs de croissance, mais il faut aussi que nous ayons un tissu suffisamment dense dans ces secteurs et qui puisse participer à la compétition sur le marché sous régional et le marché international’’, a-t-il ajouté. L'ambition est de relancer l’entreprise sénégalaise au cœur de l’économie. ‘’Nous avons la responsabilité de promouvoir l’industrie sénégalaise, mais également faire en sorte que le commerce puisse être cette activité transversale qui porte l’industrie du secteur agricole, ou encore de la pêche (…)’’, a-t-il ajouté.
Le ministre du Commerce, de l’Industrie et du Secteur informel a également rappelé que les PME-PMI sénégalaises se portaient bien au niveau du marché de la sous-région, ‘’avec 500 milliards d’exportation, ce qui fait un excédent net de 100 milliards de FCFA’’. ‘’Nous allons porter le plaidoyer pour que les nouveaux instruments financiers qui sont mis en place puissent apporter des financements innovants sur la chaîne des valeurs, mais aussi sur l’allègement des coûts d’accès au financement’’, a soutenu Alioune Sarr. Concernant les marchés de l'Etat, il s’est dit ‘’prêt’’ à porter le message ‘’d’une affectation d’une certaine quantité de la commande publique aux PME-PMI, mais à condition que ces entreprises s’engagent sur la pérennité, la qualité et sur le respect des critères publiques’’.
APS
‘’Car il faut prendre les secteurs porteurs de croissance, mais il faut aussi que nous ayons un tissu suffisamment dense dans ces secteurs et qui puisse participer à la compétition sur le marché sous régional et le marché international’’, a-t-il ajouté. L'ambition est de relancer l’entreprise sénégalaise au cœur de l’économie. ‘’Nous avons la responsabilité de promouvoir l’industrie sénégalaise, mais également faire en sorte que le commerce puisse être cette activité transversale qui porte l’industrie du secteur agricole, ou encore de la pêche (…)’’, a-t-il ajouté.
Le ministre du Commerce, de l’Industrie et du Secteur informel a également rappelé que les PME-PMI sénégalaises se portaient bien au niveau du marché de la sous-région, ‘’avec 500 milliards d’exportation, ce qui fait un excédent net de 100 milliards de FCFA’’. ‘’Nous allons porter le plaidoyer pour que les nouveaux instruments financiers qui sont mis en place puissent apporter des financements innovants sur la chaîne des valeurs, mais aussi sur l’allègement des coûts d’accès au financement’’, a soutenu Alioune Sarr. Concernant les marchés de l'Etat, il s’est dit ‘’prêt’’ à porter le message ‘’d’une affectation d’une certaine quantité de la commande publique aux PME-PMI, mais à condition que ces entreprises s’engagent sur la pérennité, la qualité et sur le respect des critères publiques’’.
APS