Il a déclaré que le Plan Sénégal Emergent (PSE), dont les orientations stratégiques sont en parfaite adéquation avec les priorités de l’agenda mondial de développement durable, permet de fédérer toutes les énergies en vue d’atteindre les objectifs fixés, en mettant l’accent sur la transformation structurelle de l’économie, le développement du capital humain ainsi que la gouvernance et la paix. L’outil statistique joue un rôle important dans cette perspective.
C’est pourquoi, il a rappelé que le suivi-évaluation des OMD a clairement démontré que l’utilisation efficace des données peut permettre de galvaniser les efforts de développement, mettre en œuvre avec succès des actions ciblées, surveiller les résultats et améliorer la responsabilisation. En ce sens, le développement durable nécessite une révolution des données pour améliorer la disponibilité, la qualité, la pertinence et la ventilation des données. Aussi, des investissements durables dans les capacités statistiques sont nécessaires à tous les niveaux, en particulier au niveau national pour accompagner la mise en œuvre des programmes, notamment les ODD.
Le Ministre Amadou BA a aussi indiqué que les principaux défis du Sénégal qui compte une forte population jeune sont la scolarisation des jeunes, la formation professionnelle pour l’insertion des jeunes dans le milieu professionnel. A ce propos, la BID finance d’importants projets notamment dans la production agricole et l’élevage. Elle finance le Projet de Développement de l’Entreprenariat Féminin et de l’Emploi des jeunes (PADEF/EJ) à hauteur de 11 milliards de FCFA et dont les interventions sont axées sur le développement des chaînes de valeur agricoles (riz, oignon et du lait), l’accès au crédit par le biais de la finance islamique et sur le renforcement des capacités managériales et gestionnaires des jeunes.
La coopération entre la BID et le Sénégal concerne 26 projets (toutes opérations confondues : prêts, assistance technique, etc.) et portent sur un montant de 1156 millions de dollars, soit environ 578 milliards de FCFA. Les principaux secteurs de ce portefeuille concernent l’Agriculture, l’Education, l’Energie, les Transports, l’Hydraulique et l’Assainissement et l’emploi des jeunes.
Pathé TOURE
C’est pourquoi, il a rappelé que le suivi-évaluation des OMD a clairement démontré que l’utilisation efficace des données peut permettre de galvaniser les efforts de développement, mettre en œuvre avec succès des actions ciblées, surveiller les résultats et améliorer la responsabilisation. En ce sens, le développement durable nécessite une révolution des données pour améliorer la disponibilité, la qualité, la pertinence et la ventilation des données. Aussi, des investissements durables dans les capacités statistiques sont nécessaires à tous les niveaux, en particulier au niveau national pour accompagner la mise en œuvre des programmes, notamment les ODD.
Le Ministre Amadou BA a aussi indiqué que les principaux défis du Sénégal qui compte une forte population jeune sont la scolarisation des jeunes, la formation professionnelle pour l’insertion des jeunes dans le milieu professionnel. A ce propos, la BID finance d’importants projets notamment dans la production agricole et l’élevage. Elle finance le Projet de Développement de l’Entreprenariat Féminin et de l’Emploi des jeunes (PADEF/EJ) à hauteur de 11 milliards de FCFA et dont les interventions sont axées sur le développement des chaînes de valeur agricoles (riz, oignon et du lait), l’accès au crédit par le biais de la finance islamique et sur le renforcement des capacités managériales et gestionnaires des jeunes.
La coopération entre la BID et le Sénégal concerne 26 projets (toutes opérations confondues : prêts, assistance technique, etc.) et portent sur un montant de 1156 millions de dollars, soit environ 578 milliards de FCFA. Les principaux secteurs de ce portefeuille concernent l’Agriculture, l’Education, l’Energie, les Transports, l’Hydraulique et l’Assainissement et l’emploi des jeunes.
Pathé TOURE