Pour le ministre en charge de l’économie, du plan et de la coopération, la recherche nécessite des ressources financières suffisantes qui ne sont pas toujours disponibles pour les « Thinks Tanks » évoluant dans nos pays. Amadou Hott, en l’occurrence, a tenu ses propos à l’occasion de la journée internationale des Thinks tanks célébrée hier à Dakar.
« Ma présence à cette cérémonie témoigne de l’importance que revêt à nos yeux un partenariat dynamique entre les « Thinks Tanks » et le Gouvernement », déclare M. Hott. Qui ajoute dans la foulée que d’ores et déjà, son département s’engage à consolider la collaboration fructueuse entretenue jusqu’ici avec les chercheurs et centres de recherche et à poursuivre la valorisation de la production intellectuelle locale.
Le ministre salue également l’esprit coopératif du réseau des « Thinks Tanks » étatiques, de la société civile, du milieu académique et de la recherche, en tant que « groupe de réflexions, laboratoire d’idées ou cabinet d’experts». Pour M. Hott, « cela n’est pas surprenant, au regard de l’engagement patriotique des différentes composantes qui leur permet de jouer un rôle de premier plan dans la production de connaissances et d’évidences scientifiques ».
En ce sens, il a remercié les « Thinks Tanks » au Sénégal pour leur remarquable contribution qui a permis un meilleur ciblage de l’action publique. C’est pour dire, selon lui, qu’à côté du travail gouvernemental, l’expertise des chercheurs a été mobilisée dans le cadre de consultations. Et leurs conseils et recommandations ont véritablement aidé à la prise de décisions, reconnait le ministre. Qui est d’avis que cela prouve si besoin est, que l’Afrique n’est pas en reste dans la réflexion mondiale sur la pandémie et ses effets.
Par ailleurs, Amadou Hott a soutenu que les actions vigoureuses de l’Etat ont permis d’éviter la récession en 2020 et que face aux incertitudes sur la fin de la pandémie, le gouvernement a pris la décision d’assurer une relance durable de l’économie en procédant à l’ajustement du 2e Plan d’actions prioritaires du Plan Sénégal émergent (Pse). Il confie enfin que ce processus qui a été mené de manière inclusive en prenant en compte les contributions d’universitaires, de chercheurs et autres a été sanctionné par la mise en place du Plan d’actions prioritaires ajusté et accéléré (Pap2a).
Bassirou MBAYE
« Ma présence à cette cérémonie témoigne de l’importance que revêt à nos yeux un partenariat dynamique entre les « Thinks Tanks » et le Gouvernement », déclare M. Hott. Qui ajoute dans la foulée que d’ores et déjà, son département s’engage à consolider la collaboration fructueuse entretenue jusqu’ici avec les chercheurs et centres de recherche et à poursuivre la valorisation de la production intellectuelle locale.
Le ministre salue également l’esprit coopératif du réseau des « Thinks Tanks » étatiques, de la société civile, du milieu académique et de la recherche, en tant que « groupe de réflexions, laboratoire d’idées ou cabinet d’experts». Pour M. Hott, « cela n’est pas surprenant, au regard de l’engagement patriotique des différentes composantes qui leur permet de jouer un rôle de premier plan dans la production de connaissances et d’évidences scientifiques ».
En ce sens, il a remercié les « Thinks Tanks » au Sénégal pour leur remarquable contribution qui a permis un meilleur ciblage de l’action publique. C’est pour dire, selon lui, qu’à côté du travail gouvernemental, l’expertise des chercheurs a été mobilisée dans le cadre de consultations. Et leurs conseils et recommandations ont véritablement aidé à la prise de décisions, reconnait le ministre. Qui est d’avis que cela prouve si besoin est, que l’Afrique n’est pas en reste dans la réflexion mondiale sur la pandémie et ses effets.
Par ailleurs, Amadou Hott a soutenu que les actions vigoureuses de l’Etat ont permis d’éviter la récession en 2020 et que face aux incertitudes sur la fin de la pandémie, le gouvernement a pris la décision d’assurer une relance durable de l’économie en procédant à l’ajustement du 2e Plan d’actions prioritaires du Plan Sénégal émergent (Pse). Il confie enfin que ce processus qui a été mené de manière inclusive en prenant en compte les contributions d’universitaires, de chercheurs et autres a été sanctionné par la mise en place du Plan d’actions prioritaires ajusté et accéléré (Pap2a).
Bassirou MBAYE