Il s’agirait en priorité d’accroître l’espace budgétaire en augmentant les recettes, en maîtrisant la masse salariale et en limitant l’accumulation de passifs conditionnels liés au secteur de l’énergie. Il est prioritaire aussi d’accroître l’efficience de l’investissement en améliorant la hiérarchisation et la sélection des projets et des réformes institutionnelles de manière à développer les capacités d’absorption et d’exécution.
Toujours selon la même source, le 14 juillet 2017, le Conseil d’administration du Fonds monétaire international (FMI) a achevé la septième et dernière revue du programme du Burkina Faso appuyé par la facilité élargie de crédit (FEC) selon la procédure du défaut d’opposition. Cette décision permet de décaisser 4,47 millions de DTS (environ 6,2 millions de dollars), ce qui porte le total des décaissements au titre de l’accord FEC qui a été approuvé en 2013 à 55,64 millions de DTS (environ 77,4 millions de dollars).
La mise en œuvre du programme au titre de l’accord FEC est restée satisfaisante. Après avoir atteint en moyenne 4 % sur la période 2014–15, la croissance du PIB réel s’est accélérée à 5,9 % en 2016. Le déficit des transactions extérieures courantes s’est réduit légèrement pour s’inscrire juste au-dessous de 7 % du PIB : l’augmentation des exportations de coton et d’or a été compensée par une hausse de la demande intérieure de biens de consommation et des importations liées à l’investissement public.
Pathé TOURE
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Toujours selon la même source, le 14 juillet 2017, le Conseil d’administration du Fonds monétaire international (FMI) a achevé la septième et dernière revue du programme du Burkina Faso appuyé par la facilité élargie de crédit (FEC) selon la procédure du défaut d’opposition. Cette décision permet de décaisser 4,47 millions de DTS (environ 6,2 millions de dollars), ce qui porte le total des décaissements au titre de l’accord FEC qui a été approuvé en 2013 à 55,64 millions de DTS (environ 77,4 millions de dollars).
La mise en œuvre du programme au titre de l’accord FEC est restée satisfaisante. Après avoir atteint en moyenne 4 % sur la période 2014–15, la croissance du PIB réel s’est accélérée à 5,9 % en 2016. Le déficit des transactions extérieures courantes s’est réduit légèrement pour s’inscrire juste au-dessous de 7 % du PIB : l’augmentation des exportations de coton et d’or a été compensée par une hausse de la demande intérieure de biens de consommation et des importations liées à l’investissement public.
Pathé TOURE
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