L’inflation est restée modérée, à moins de 1 % en 2015, et est devenue négative en 2016. Le déficit budgétaire (dons compris) s’est réduit à 6,2 % du PIB en 2016, contre 8 % du PIB un an plus tôt, grâce aux efforts déployés par les autorités pour limiter les dépenses face à des recettes qui restent faibles.
Pour 2017 et à moyen terme, note un communiqué, la croissance devrait rebondir, principalement grâce à l’agriculture et à une augmentation notable de l’investissement public. L’inflation resterait inférieure au seuil de 3 % de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) et le déficit budgétaire s’établirait en deçà du critère de 3 % du PIB de l’UEMOA d’ici 2019, après avoir culminé à 7,9 % en 2017.
Le déficit des transactions extérieures courantes demeurerait élevé, en raison des importations liées aux investissements, mais la position globale de la balance des paiements générerait des excédents légers sur la position du compte financier.
Le nouveau programme a pour objectif de créer un espace budgétaire en accroissant les recettes intérieures et en renforçant l’efficience des dépenses publiques, en augmentant progressivement les capacités d’absorption pour accroître l’investissement, en renforçant la gestion de la dette publique et en encourageant l’investissement du secteur privé en renforçant les institutions et en améliorant le climat des affaires, tout en préservant la viabilité de la dette.
Pathé TOURE
Pour 2017 et à moyen terme, note un communiqué, la croissance devrait rebondir, principalement grâce à l’agriculture et à une augmentation notable de l’investissement public. L’inflation resterait inférieure au seuil de 3 % de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) et le déficit budgétaire s’établirait en deçà du critère de 3 % du PIB de l’UEMOA d’ici 2019, après avoir culminé à 7,9 % en 2017.
Le déficit des transactions extérieures courantes demeurerait élevé, en raison des importations liées aux investissements, mais la position globale de la balance des paiements générerait des excédents légers sur la position du compte financier.
Le nouveau programme a pour objectif de créer un espace budgétaire en accroissant les recettes intérieures et en renforçant l’efficience des dépenses publiques, en augmentant progressivement les capacités d’absorption pour accroître l’investissement, en renforçant la gestion de la dette publique et en encourageant l’investissement du secteur privé en renforçant les institutions et en améliorant le climat des affaires, tout en préservant la viabilité de la dette.
Pathé TOURE