S’adressant aux actionnaires, aux administrateurs et aux agences partenaires du Groupe de la Banque lors des Assemblées annuelles 2022 à Accra, Mme Tshabalala a déclaré que l’institution a renforcé son cadre de viabilité financière à long terme au cours des trois
dernières années, s’assurant ainsi de renforcer sa résilience face aux chocs futurs.
« Nous avons mis à jour notre politique financière et de risque ; nous avons entrepris un examen de notre structure de coûts et sommes en train d’élaborer le nouveau cadre de maîtrise des coûts de la Banque afin d’optimiser les ressources disponibles pour remplir notre mandat », a déclaré Mme Tshabalala à l’auditoire, qui comprenait le président du Groupe de la Banque, Dr Akinwumi Adesina, et la haute direction.
La vice-présidente principale a déclaré que la Banque a également mis à jour ses stratégies et politiques afin de renforcer le développement du secteur privé dans les pays à faible revenu et en transition, sur le changement climatique et la croissance verte, la
gouvernance et la gestion de la dette.
La présentation de jeudi a réuni, dans le style de Davos, un panel de vice-présidents du Groupe de la Banque, qui ont donné un aperçu de la performance de l’institution dans l’accomplissement de ses mandats financiers et de développement. Simon Mizrahi, directeur du département impact et résultats du développement, a animé la session.
Commentant la santé financière de la Banque, Hassatou N’sele, vice-présidente par intérim chargée des Finances et directrice financière, a déclaré que le Groupe de la Banque a obtenu des résultats financiers « très solides » au titre de l’exercice 2021, atteignant le troisième plus haut montant de revenu distribuable de ces dix dernières années.
Elle a déclaré que la Banque a généré un bénéfice cumulé de 2,5 milliards de dollars au cours des 10 dernières années, un montant proche des 3,6 milliards de dollars payés par les actionnaires pour la 6e augmentation générale du capital en 2010. « Plus de la moitié de ce bénéfice a été affecté au développement du continent. Nous assurons un juste équilibre entre le développement — l’efficacité du développement — et la viabilité financière de l’institution.»
Quatre-vingts pour cent des activités de la Banque concernent des prêts souverains, dont la marge bénéficiaire est nulle, a précisé Mme N’sele. La performance financière de la Banque repose sur les prêts au secteur privé et sur la performance de ses portefeuilles de trésorerie.
Adou Faye
dernières années, s’assurant ainsi de renforcer sa résilience face aux chocs futurs.
« Nous avons mis à jour notre politique financière et de risque ; nous avons entrepris un examen de notre structure de coûts et sommes en train d’élaborer le nouveau cadre de maîtrise des coûts de la Banque afin d’optimiser les ressources disponibles pour remplir notre mandat », a déclaré Mme Tshabalala à l’auditoire, qui comprenait le président du Groupe de la Banque, Dr Akinwumi Adesina, et la haute direction.
La vice-présidente principale a déclaré que la Banque a également mis à jour ses stratégies et politiques afin de renforcer le développement du secteur privé dans les pays à faible revenu et en transition, sur le changement climatique et la croissance verte, la
gouvernance et la gestion de la dette.
La présentation de jeudi a réuni, dans le style de Davos, un panel de vice-présidents du Groupe de la Banque, qui ont donné un aperçu de la performance de l’institution dans l’accomplissement de ses mandats financiers et de développement. Simon Mizrahi, directeur du département impact et résultats du développement, a animé la session.
Commentant la santé financière de la Banque, Hassatou N’sele, vice-présidente par intérim chargée des Finances et directrice financière, a déclaré que le Groupe de la Banque a obtenu des résultats financiers « très solides » au titre de l’exercice 2021, atteignant le troisième plus haut montant de revenu distribuable de ces dix dernières années.
Elle a déclaré que la Banque a généré un bénéfice cumulé de 2,5 milliards de dollars au cours des 10 dernières années, un montant proche des 3,6 milliards de dollars payés par les actionnaires pour la 6e augmentation générale du capital en 2010. « Plus de la moitié de ce bénéfice a été affecté au développement du continent. Nous assurons un juste équilibre entre le développement — l’efficacité du développement — et la viabilité financière de l’institution.»
Quatre-vingts pour cent des activités de la Banque concernent des prêts souverains, dont la marge bénéficiaire est nulle, a précisé Mme N’sele. La performance financière de la Banque repose sur les prêts au secteur privé et sur la performance de ses portefeuilles de trésorerie.
Adou Faye