"Ces résultats obtenus ont convaincu le partenaire du gouvernement dans ce projet, le Fonds international pour le développement de l’agriculture (FIDA), à étendre le projet à la région de Louga, au-delà du Bassin arachidier", a souligné M. Diouf.
L’objectif fixé au PAFA au départ était d’atteindre 14 mille ménages des régions de Diourbel, Fatick, Kaffrine et Kaolack, a-t-il rappelé au terme d’une visite, dans les zones d’intervention du projet, du vice-président du FIDA, Michel Mordasini.
"Grâce au projet, a indiqué M. Diouf, nous avons obtenu des rendements de 800 kilogrammes à 1,6 tonne par hectare pour le mil, et de 400 à 800 kilogrammes à l'hectare pour le +niébé+."
Le rendement à l’hectare est également presque passé du simple au double pour le sésame, selon lui.
Le PAFA, mis en œuvre pour la période 2010-2016 avec des financements du FIDA, a favorisé l’"augmentation des revenus des producteurs et la sécurité alimentaire des ménages", a déclaré son coordonnateur.
Le projet a aussi permis de doter les producteurs de 50 magasins de stockage de céréales, en "deux ou trois ans", a-t-il dit.
APS
L’objectif fixé au PAFA au départ était d’atteindre 14 mille ménages des régions de Diourbel, Fatick, Kaffrine et Kaolack, a-t-il rappelé au terme d’une visite, dans les zones d’intervention du projet, du vice-président du FIDA, Michel Mordasini.
"Grâce au projet, a indiqué M. Diouf, nous avons obtenu des rendements de 800 kilogrammes à 1,6 tonne par hectare pour le mil, et de 400 à 800 kilogrammes à l'hectare pour le +niébé+."
Le rendement à l’hectare est également presque passé du simple au double pour le sésame, selon lui.
Le PAFA, mis en œuvre pour la période 2010-2016 avec des financements du FIDA, a favorisé l’"augmentation des revenus des producteurs et la sécurité alimentaire des ménages", a déclaré son coordonnateur.
Le projet a aussi permis de doter les producteurs de 50 magasins de stockage de céréales, en "deux ou trois ans", a-t-il dit.
APS