chroniques
La Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’ouest (Bceao) révèle que la dynamique économique du Benin s’est traduite,en 2019, par la réalisation d’un taux de croissance économique estimé à 6,9% contre 6,7% en 2018. Cela est, selon l’institution, en relation avec les performances des filières d’exportation et la mise en œuvre satisfaisante du Programme d’actions du gouvernement. La banque centrale note ainsi que le solde global de la balance des paiements s’est ressenti de cet environnement, en affichant un excédent de 45.550,6 millions en 2019.
A l’en croire, le déficit structurel de la balance des transactions courantes s’est légèrement réduit en ressortant à 340.177,1 millions en 2019, contre 360.362,6 millions l’année précédente. Cette évolution s’explique, d’après la même source, par une diminution du déficit de la balance des biens, dont les effets ont été modérés par la progression du déficit des services et du revenu primaire.
En effet, explique-t-elle, le déficit de la balance des biens a reculé de 45.241,3 millions par rapport à 2018, en liaison avec une diminution plus importante des importations de biens comparativement aux exportations de biens. Cette évolution, poursuit la Bceao, est en relation avec l’évolution de la conjoncture économique durant les cinq derniers mois de l’année 2019.
Quant au déficit des services nets, il s’est accru de 14.988,2 millions, en se situant à 162.430,1 millions en 2019 contre un déficit de 147.441,9 millions en 2018, rapporte l’institution. Qui ajoute enfin que le renforcement du déficit des services s’explique par la satisfaction des besoins internes liés aux services spécialisés et aux services de conseil en gestion.
Bassirou MBAYE
A l’en croire, le déficit structurel de la balance des transactions courantes s’est légèrement réduit en ressortant à 340.177,1 millions en 2019, contre 360.362,6 millions l’année précédente. Cette évolution s’explique, d’après la même source, par une diminution du déficit de la balance des biens, dont les effets ont été modérés par la progression du déficit des services et du revenu primaire.
En effet, explique-t-elle, le déficit de la balance des biens a reculé de 45.241,3 millions par rapport à 2018, en liaison avec une diminution plus importante des importations de biens comparativement aux exportations de biens. Cette évolution, poursuit la Bceao, est en relation avec l’évolution de la conjoncture économique durant les cinq derniers mois de l’année 2019.
Quant au déficit des services nets, il s’est accru de 14.988,2 millions, en se situant à 162.430,1 millions en 2019 contre un déficit de 147.441,9 millions en 2018, rapporte l’institution. Qui ajoute enfin que le renforcement du déficit des services s’explique par la satisfaction des besoins internes liés aux services spécialisés et aux services de conseil en gestion.
Bassirou MBAYE
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