''Les pays de notre Union, ne sont pas au même niveau de mise en œuvre de ce cadre juridique communautaire'', a relevé Dossolo Diarra expliquant que cela est lié à un déficit de communication.
M. Diarra s’exprimait, mardi, à Dakar, à l’occasion d’un atelier de sensibilisation et de vulgarisation sur le cadre national de biosécurité, organisé en collaboration avec l’UEMOA à l’endroit des parlementaires, de la société civile et des conseillers.
Pour lui, tous les acteurs doivent être au même niveau de connaissances afin de pouvoir évaluer et gérer les risques liés à l’utilisation des biotechnologies et la biosécurité.
''En vue de prévenir ces risques potentiels, la communauté internationale a adopté le protocole de Carthagène sur la prévention des risques biotechnologiques auxquels, les états membres de l’Union font partie'', a t-il rappelé.
L’atelier de sensibilisation sur la cadre national de biosécurité ''rentre en droite ligne dans les recommandations de l’UEMOA qui a initié depuis 2007, un programme régional de biosécurité'', a souligné le représentant résident.
Pour Oussseynou Kassé, directeur exécutif de l’Autorité nationale Biosécurité (ANB), le Sénégal doit s’arrimer à cette réglementation.
''Ces biotechnologies ne sont pas exempts de reproches d’où, la nécessité de les encadrer et c’est le rôle de l’ANB qui s’appuie sur le laboratoire scientifique national de biosécurité'', a-t-il signalé.
Le rôle de l’ANB est de réguler le secteur des biotechnologies, a dit M. Kassé.
APS
M. Diarra s’exprimait, mardi, à Dakar, à l’occasion d’un atelier de sensibilisation et de vulgarisation sur le cadre national de biosécurité, organisé en collaboration avec l’UEMOA à l’endroit des parlementaires, de la société civile et des conseillers.
Pour lui, tous les acteurs doivent être au même niveau de connaissances afin de pouvoir évaluer et gérer les risques liés à l’utilisation des biotechnologies et la biosécurité.
''En vue de prévenir ces risques potentiels, la communauté internationale a adopté le protocole de Carthagène sur la prévention des risques biotechnologiques auxquels, les états membres de l’Union font partie'', a t-il rappelé.
L’atelier de sensibilisation sur la cadre national de biosécurité ''rentre en droite ligne dans les recommandations de l’UEMOA qui a initié depuis 2007, un programme régional de biosécurité'', a souligné le représentant résident.
Pour Oussseynou Kassé, directeur exécutif de l’Autorité nationale Biosécurité (ANB), le Sénégal doit s’arrimer à cette réglementation.
''Ces biotechnologies ne sont pas exempts de reproches d’où, la nécessité de les encadrer et c’est le rôle de l’ANB qui s’appuie sur le laboratoire scientifique national de biosécurité'', a-t-il signalé.
Le rôle de l’ANB est de réguler le secteur des biotechnologies, a dit M. Kassé.
APS